Attention : queue en vue ! Il va falloir y aller avant tout le monde… Complètement obsédé par le ramen “comme à Singapour”, Guy Savoy, maintes fois élu meilleur chef du monde, s’est décidé à ouvrir un lieu dans le 6e dédié à sa passion : un ramen, donc.
En un été, la décision était prise. Le chef français 3 étoiles, totalement féru de food asiatique, ouvrait Supu Ramen, une cantine qui flirte adorablement avec la pop culture. Un mélange éclectique dans un lieu hyper lumineux avec des petites tables et comptoir en bois, des inspirations street art, une cuisine ouverte et des œuvres du plasticien Fabrice Hyber. Bref : cool !
Les produits d’exception d’un 3 étoiles dans un ramen
Pour ce faire : le chef utilise les meilleurs produits possibles, tous sourcés pour son restaurant gastronomique à deux pas, à l’Hôtel de la Monnaie : à commencer par le porc d’Île-de-France FranciLin ou les noodles maison fabriqués à base des farines bio du moulin de Brasseuil à accompagner d’un verre de saké d’auteur Kamiizumi (9 €), d’un vin de prune japonais (4 €) ou d’un verre de Chardonnay, cuvée Guy Savoy himself.
À la carte, des ramens avec “beaucoup de verdure” comme un bouillon Dashi, nori, maquereau, cébettes et condiment miso-pimenté (13,80 €) ou le bouillon de bœuf, légumes en julienne, travers de bœuf confit, cébettes, oignons frits, feuilles de coriandres, condiment miso-raifort (17,80 €).
Reste à pimper sa soupe : d’un œuf mollet, de tofu mariné ou d’un peu de foie gras poêlé pour la touche luxe.
Véritable singularité, le “sans bouillon” veggie fait mouche : un mix extraordinaire de noodles à la tomate rôtie, aubergine, enoki, daikon, oignons frits, pousse de soja, edamame et sauce SUPU (12,80 €).
Ne ratez sous aucun prétexte les desserts (4,80 €) : un sorbet au thé earl grey (amazing !), sans oublier un fondant chocolat pralin sauce chicorée.
Ouvert tous les jours midi et soir sans réservation à partir de 11h45, au dîner à partir de 18h30
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