Notre petit doigt nous dit que cette nouvelle adresse logée du côté de Pigalle pourrait vite devenir votre prochain QG. On parie ?
Une déco très instagram-friendly
Pour leur première adresse, Anna de Pindray et son mari Francis Boursin ont créé le lieu qu’ils rêvaient d’avoir dans le quartier où ils sont installés depuis plus de dix ans. Résultat, un bistrot d’atmosphère à leur image, stylé mais pas intimidant, comme une extension de leur salon en somme.
Côté déco, le couple a confié le bébé à Sophie Louvet (Atelier Louvet), qui s’est éclatée à piocher dans les tendances du moment sans tomber dans le copier/coller pour autant.Sublime bar en terrazzo, chaises en bois blond au look scandinave, tapis vert émeraude, bouquets de fleurs XXL, suspension fofolle en pampa signée Adriane Aubry.
Point bonus : la terrasse sur rue, suffisamment en retrait pour ne pas avoir le nez dans les pots d’échappement.
Une cuisine aux accents du Midi
Avec sa pissaladière meilleure qu’à Nice, la messe est dite (9 €). Chez Bonjour Bonsoir, on surfe clairement sur la vague méditerranéenne.
Ça donne : palourdes ail et coriandre (12 €), burrata des Pouilles et légumes confits (12 €), arancini au praliné de cèpes à tomber (10 €), gnocchi maison à la crème d’épinard et piperade #foodporn à souhait (23 €), bonite beurrée, câpres et piperade (23 €), excellente crème caramel à la fleur de badiane (7 €).
C’est bien vu : le soir, les plats se déclinent en deux formats pour pouvoir multiplier les petites assiettes à l’envi.
Et le dimanche, on brunche
Besoin d’un remède anti-hangover ? Foncez sur l’assiette Bonjour Bonsoir avec saucisse au couteau, sauce tomate au fenouil, galettes de pommes de terre parmentières, œuf au plat et champignons. Ou le croque végétarien (crème de parmesan, pousse d’épinards et champignons) avec des frites maison, suivis de pancakes au caramel beurre salé, mousse de yaourt et noisettes caramélisées (14-18 € le plat).
Ils ont même pensé aux kids avec les irrésistibles chicken nuggets /frites (10 €).
Retrouvez aussi la Brasserie Bellanger et le Grand Café d’Athènes.
© Géraldine Martens