Avant Cruella, il y avait Estella. Dans le dernier film Disney de Craig Gillespie, préquelle des 101 Dalmatiens récompensé aux Oscars et aux BAFTA 2022, Emma Stone incarne une créatrice de mode déjantée et hyper charismatique et un personnage complexe digne du Joker dans les créations mode les plus spectaculaires de Jenny Beaven (Oscar des meilleurs Costumes) à faire pâlir les plus grands créateurs.
Cruella
Pour qui ? Pour les fans inconditionnels du Diable s’habille en Prada, mixé avec l’esprit vengeur du Joker.
Dans le Londres des années 70, en plein mouvement punk-rock, Estella (Emma Stone), jeune fille pauvre malmenée par la vie, ambitionne de se faire une place dans le milieu de la mode. La créatrice d’une maison de couture très en vue, la snobissime baronne von Hellmann (Emma Thompson), fait d’Estella son poulain qui va laisser place à Cruella : une créature diablement stylée et assoiffée de vengeance.
Dans ce film original, la cruelle voleuse de chiens est une femme de pouvoir dog friendly, et laisse sa méchanceté légendaire au placard pour faire place à un esprit vengeur et psychopathe digne du Joker interprété par Joaquin Phoenix. Anti-héroïne haute couture aux accents très Vivienne Westwood, Emma Stone offre un jeu complètement déroutant et schizophrénique : brillante, timide et blessée par la vie côté pile ; garce, mondaine et tyrannique côté face. Mention spéciale à la divine Emma Thompson, dont le personnage empli de perversité se classe avec brio dans la catégorie des diables fashion aux côtés de Meryl Streep.
Cruella, disponible le 29 avril sur Mycanal
Et aussi...
En Thérapie, saison 2 avec Charlotte Gainsbourg, Suzanne Lindon et Jacques Weber
Pour qui ? Les accros d’En Thérapie en mal de séances de psy chez le Docteur Dayan.
Mai 2020, au lendemain du premier confinement, le super psychanalyste se retrouve fragilisé dans un procès intenté par la famille d’Abel Chibane (Reda Kateb), mort en Syrie après sa thérapie, et s’en remet désormais à sa nouvelle superviseuse chez qui il espère trouver une forme de rédemption (la très médiatique Claire Brunet, interprétée par Charlotte Gainsbourg). Quatre nouveaux patients se pressent sur le divan du Docteur Dayan, désormais installé en banlieue parisienne à la suite de son divorce. D’abord, Eye Haïdara, suivie 20 ans plus tôt lors d’une IVG, devenue une avocate ultra-brillante qui s’est consacrée à sa carrière sans voir le temps passer et se retrouve à son grand désespoir sans enfant. Il y aussi Aliocha Delmotte, ado mal dans ses pompes, victime de harcèlement scolaire et des relations toxiques qu'entretiennent ses parents, Clémence Poésy et Pio Marmaï, déjà en thérapie de couple dans la saison 1. Après Céleste Brunnquell, la révélation de cette nouvelle saison, c’est l’extraordinaire Suzanne Lindon (Seize Printemps), qui crève l’écran par sa justesse dans le rôle d’une étudiante en archi’ frappée en pleine jeunesse par un cancer. Et enfin, Jacques Weber, chef d'entreprise confronté à la mort brutale d'un de ses employés. Derrière la caméra : les plus grands réalisateurs français : Emmanuelle Bercot, Agnès Jaoui, Arnaud Desplechin, Emmanuel Finkiel (La Douleur).
Si la saison 1 prenait comme toile de fond les attentats de novembre 2015, elle faisait également écho à l'actualité du mouvement #MeToo, à la libération de la parole des victimes de violences sexuelles et plus récemment, des victimes d'inceste et de leur difficulté à témoigner. Le duo de réalisateurs d’Intouchables, Olivier Nakache et Eric Toledano, s’attaquent cette fois-ci à la crise sanitaire et aux différents sentiments partagés par la population mondiale. À l’instar de Be Tipul, la série israélienne extraordinaire d’Hagai Levi dont elle est adaptée, En Thérapie explore avec une finesse géniale les maux de notre époque (obsession de la performance, harcèlement, maternité).
En Thérapie saison 2 déjà disponible sur Arte.tv
WeCrashed
Pour qui ? Les serial entrepreneurs·ses curieux·ses de ces destins hors norme réservés à ceux qui ont eu LA bonne idée au bon moment.
Il y a des gens, comme ça, nés pour tenter leur chance dans l’entreprenariat. Après quelques tentatives foireuses (des pantalons avec renforts aux genoux pour bébés, des chaussures à talons rétractables), Adam Neumann (Jared Leto) tient enfin son jackpot. Inspiré des kibboutz qui l’ont vu grandir en Israël et soutenu moralement et financièrement par sa femme Rebekah (Anne Hathaway), il lance en 2010 WeWork, un espace partagé de coworking au cœur de New York, véritable lieu de vie avec zones de détente et summer camps arrosés. Le succès est fulgurant, au point d’être valorisé jusqu’à 47 milliards de dollars. Mais en 2019, c’est la chute : le fondateur, devenu totalement décadent, est mis à la porte par son board et fait les choux gras de la presse à scandale.
WeCrashed, c’est le récit rocambolesque de cette success story typiquement américaine adaptée du podcast WeCrashed: The Rise and Fall of WeWork. Le sujet, déjà hyper compatible avec un format série, bénéficie d’abord d’une réal’ ultra-léchée signée John Requa et Glenn Ficarra (This is Us, Crazy Stupid Love). Quant aux stars (également à la prod) dans les rôles du power couple, si évidemment le jeu d’Anne Hathaway se savoure comme un bonbon, Jared Leto insiste malheureusement sur ses tentatives d’accents (après le fiasco total de son interprétation dans House of Gucci) et s’impose en définitive comme l’acteur de prédilection pour jouer les joyeux fous. La destinée incroyable du vrai Adam Neumann, véritable gourou en proie à un ego trip qui causera sa perte, reste cependant suffisamment croustillante pour s’accrocher aux 8 épisodes.
Disponible le 18 mars sur AppleTv+.
Jeen-yuhs : La trilogie Kanye West
Pour qui ? Les accros absolus de rap US nostalgiques des années MTV.
C’est le producteur de rap le plus influent de ces 20 dernières années, au coude-à-coude avec Jay-Z et Dr. Dre. Mystérieux, bipolaire, tantôt soutien à Donald Trump, tantôt candidat aux présidentielles, Kanye West intrigue. Après sa séparation médiatisée avec Kim Kardashian et ses dernières frasques sur Instagram à propos du nouveau mec de celle-ci, le producteur et rappeur originaire de Chicago tient désormais, malgré de récentes réticences, le meilleur moyen de se réhabiliter aux yeux du public.
“Vous croyez connaître Kanye West, mais en fait pas du tout.” Son ami de longue date Clarence "Coodie" Simmons a commencé à le filmer en 2001, certain d’être témoin de l'ascension d’un destin hors norme. Il en ressort 320 heures d’images inédites et intimes regroupées dans son émouvant documentaire en 3 parties Jeen-yuhs : La trilogie Kanye West, disponible le mercredi 16 février sur Netflix.
Producteur dès ses débuts de samples ultra-novateurs pour Jay-Z, Ludacris ou Alicia Keys, on y apprend à quel point “Ye” s’est démené pour convaincre ses pairs qu’il était aussi un rappeur accompli. Issu de la middle class avec aucun casier judiciaire à signaler, le musicien a longtemps peiné à s’imposer dans le milieu sans aucune “street cred” pour le valider. Déterminé, certain de son talent, victime d’un accident de voiture qui lui brisera la mâchoire, malmené par les labels et surtout épaulé par Donda, sa mère chérie décédée en 2007, le premier épisode visionné en avant-première retrace le début de ce parcours… chaotique. De quoi changer son opinion sur cet artiste génial souvent taxé de mégalomanie.
Disponible le 16 février sur Netflix
L'Étau de Munich
Pour qui ? Les accro au suspense qui souhaitent se retrouver plongés au cœur d’un réseau d’espionnage à la veille de la Seconde Guerre Mondiale.
Morten Tyldum et son film Imitation Game n’ont qu’à bien se tenir : L’Étau de Munich a de quoi détrôner bon nombre de films historiques ! Christian Schwochow, qui a réalisé des épisodes de la saison 3 de The Crown, a donné à son thriller ce que le cinéma historique fait de mieux : un scénariste de haute volée (Ben Power de The Hollow Crown), des décors somptueux et un casting cinq étoiles. L’intrigue est portée par un duo d’acteurs aux jeux bouleversants : George MacKay (Captain Fantastic) dans le rôle du fonctionnaire britannique Hugh Legat ou encore Jannis Niewohner (Je suis Karl), Jeremy Irons (House of Gucci) et la merveilleuse Jessica Brown Findlay (Downton Abbey).
Bienvenue dans le monde d’avant-guerre du Munich de l’automne 1938. L’intrigue se concentre sur les quelques heures qui séparent la Conférence des Quatre et les accords de Munich, signés par l’Allemagne, la France, le Royaume Uni et l’Italie dans le but d’éviter la guerre. Hugh Legat et Paul von Hartmann ont coulé de belles années ensemble à l’Université d’Oxford, mais les deux anciens amis se retrouvent alors que l’Europe est au bord du précipice. L’un est un haut fonctionnaire britannique, l’autre un diplomate allemand. Dans ce contexte de tension internationale, et alors que le gouvernement de Neville Chamberlain tente désespérément de préserver la paix, ils vont devoir agir en coulisses afin de révéler un lourd secret nazi… et se retrouveront plongés au cœur d'un complot politique.
Disponible le 21 janvier sur Netflix
The Lost Daughter
Pour qui ? Les accros aux histoires sublimes d’Elena Ferrante (Une amie prodigieuse), dont le roman Poupée volée a inspiré ce film.
En vacances en Grèce, Leda, prof de littérature à l'université campée par l’impériale Olivia Colman (The Crown, The Father), profite de sa solitude depuis son transat. Bien entourée de ses livres, sa paix intérieure est constamment rompue par de bruyants touristes, et particulièrement par une jeune maman (Dakota Johnson) en fusion avec sa fillette. Hypnotisée, Leda les observe toute la journée, repensant à sa propre condition de maman de deux grandes filles. À travers des flashbacks oppressants, Maggie Gyllenhaal (actrice et sœur de Jake) signe une première réalisation superbement filmée sur la charge mentale... qui aura poussé Leda à bout.
Jusqu’à l’abandon ou la mort d’un enfant ? On ne vous spoilera pas. Ce qui est sûr, c’est que le besoin d’exister, de séduire, “d'être" au sens philosophique et pratique du terme quand on est mère prend tout son sens. The Lost Daughter s’avère plus d’actualité que jamais et franchement décomplexant, servi par une Olivia Colman inquiétante. Si la participation de Dakota Johnson (50 Shades of Grey) est presque anecdotique tant son personnage est un miroir, on salue surtout la performance d’actrice de Jessie Buckley (Wild Rose, Un Espion Ordinaire), qui incarne une Leda encore jeune maman et à fleur de peau, prête à exploser. Exceptionnelle.
Disponible sur Netflix
Angèle
Pour qui ? Les groupies de la chanteuse belge qui attendent avec impatience la sortie de Nonante-cinq, vendredi 10 décembre.
Après Nekfeu et Maître Gims, Angèle s’impose en tête d’affiche de la catégorie documentaire sur Netflix. Dans une ambiance beaucoup plus intimiste, on alterne entre les plans travaillés du clippeur Brice VDH (Julien Doré, Clara Luciani), des vidéos en format vertical enregistrées par Angèle elle-même sur son téléphone et des archives de son enfance. L’objectif ? Retracer le parcours de la pop star à l’ascension fulgurante. Grandir avec des parents célèbres (le chanteur Marka et la comédienne Laurence Bibot), ses premiers enregistrements sur Instagram, performer en première partie de Damso, le buzz de La loi de Murphy, son humiliation dans Playboy, les controverses autour de Balance ton quoi après les accusations d’agression sexuelle contre son frère Roméo Elvis, son coming out forcé par la presse, son duo avec la star internationale Dua Lipa… La jeune femme revient sur les moments clés de son histoire en s’appuyant sur ses journaux intimes dont elle partage des extraits tout au long du documentaire. Une façon délicate et touchante d’en apprendre un peu plus sur son histoire, à quelques jours de la sortie de son nouvel album.
Déjà disponible sur Netflix
Rebecca
©Rudy Waks/ elephant / tf1
Pour qui ? Les fans de Marcella, la série thriller britannique dont Rebecca, présentée au festival Séries Mania 2021, est une adaptation.
Après plusieurs années de burnout et une demande de divorce de son mari (le sexyssime Benjamin Biolay), Rebecca décide de reprendre du service en tant que capitaine à la Crim’. Persuadée d’avoir retrouvé un serial killer jamais arrêté dans une nouvelle série de meurtres, Rebecca harcèle son suspect (Patrick Timsit) malgré les ordres de ses supérieurs. Après le meutre de la maîtresse de son mari, Rebecca, en proie à des crises de black out et de violence, finit par se demander si elle n’est pas elle-même la meurtrière … Outre un casting de haute volée (Anne Marivin, Benjamin Biolay, Clotilde Courau, Grégoire Montel, Baptiste Lecaplain, Patrick Timsit, Samir Guesmi), la réécriture de l’intrigue de façon plus intimiste pousse les personnages vers l’introspection, autour de questions de société finement traitées (troubles mentaux, sexualité, drogue…). Une série policière très réussie, qui amène le spectateur à douter de (presque) tous les personnages à tour de rôle. Croyez-nous, vous n’aurez pas envie d’attendre une semaine entre les épisodes.
Disponible en intégralité sur Salto
Sort of
Pour qui ? Celles et ceux qui ont revu 12 fois Girls de Lena Dunham ou Looking avec Jonathan Groff.
C’est la comédie dramatique canadienne qui a fait sensation à Séries Mania 2021. Sort of suit le quotidien du “non-binaire” Sabi (Bilal Baig), babysitter le jour et serveur la nuit dans un bar LGBTQI+, qui vit en coloc avec sa sœur, sex addict. En proie à une crise identitaire, Sabi questionne tout : son genre, son couple avec Lewis, un homo refoulé qui passe son temps à retourner voir son ex (une fille cishétéro, bien sûr), sa carrière peu épanouissante et sa (non-)relation avec sa mère. Sa BFF, 7ven (Amanda Cordner), artiste féministe queer qui s’assume, lui propose de tout plaquer pour partir à Berlin avec elle et trouver sa voie… Sabi s’apprête à booker son billet d’avion, quand iel reçoit un appel : la mère des enfants dont iel s’occupe vient d’être plongée dans le coma suite à un grave accident, et la famille a besoin de son aide. À la façon d’un coming of age movie, cette série à la fois drôle et touchante explore avec finesse les difficultés rencontrées par les personnes non-binaires et remet en cause l’utilité de se coller un label ou de s’identifier comme quoi que ce soit.
Disponible en intégralité sur 6play
Flashback
Pour qui ? Les féministes qui s’ignorent...
Brillante avocate peu concernée par #metoo, Charlie réussit à faire acquitter son client accusé de viol. Son argument ? La victime portait un string rouge, preuve de son consentement. L’affaire fait jurisprudence. Seulement, le destin s’en mêle et un chauffeur de taxi la renvoie de force dans le passé (préhistoire / Moyen-Âge / sixties…), histoire de lui rappeler le parcours du combattant des femmes pour en arriver à la situation actuelle. Elle-même ex-avocate, Caroline Vigneaux signe avec Flashback sa première réalisation et campe ce personnage sur-mesure face à un casting de choix : Sophia Aram dans le rôle de Gisèle Halimi, Issa Doumbia, Suzanne Clément, Gad Elmaleh et Lison Daniel (du compte Insta Les Caractères). Franchement drôle et inspirant.
Dès le 11 novembre sur Amazon Prime Video
L’amour flou
Pour qui ? Les amateurs de comédies françaises bobos (Nos Enfants Chéris, Fais pas ci, fais pas ça…) qui traitent de la vie conjugale et familiale avec une bonne dose d’autodérision.
L’autofiction n’est pas le monopole de la littérature. C’est donc l’histoire vraie de Romane Bohringer et son ex Philippe Reboot qui a donné naissance à L’Amour Flou il y a 3 ans. Un premier film gentillet dont Romane a adapté la suite avec une nouvelle série originale en 9 épisodes vraiment canon où toute la tribu incarne son propre rôle : les enfants, le chien et Richard Bohringer... Comment divorcer sans se séparer quand on a deux enfants et un chien qu’on adore ? C’est la question existentielle de Romane et Philippe qui ne sont plus amoureux… mais s'aiment beaucoup quand même. En tout cas trop pour se séparer. Sous l'œil critique de leur entourage qui ne croit pas à leur concept, la famille 2.0 décide d’organiser “le Sépartement” : deux appartements séparés mais communiquant entre eux par la chambre des enfants… Tordant !
Déjà disponible sur MyCanal
© Philippe Mazzoni / Canal+
The shrink next door
Pour qui ? Les fans de true stories un peu dark.
Adaptée du podcast éponyme de Joe Nocera, journaliste chez Bloomberg, la minisérie The shrink next door met en scène cette incroyable histoire vraie : la relation abusive entre le Dr Isaac “Ike” Herschkopf (Paul Rudd) et son patient pendant plus de 30 ans, Martin “Marty” Markowitz (Will Ferrell). Marty, PDG millionnaire, se présente dans le bureau d’Ike suite au décès de ses parents pour traiter sa dépression. Le psychiatre des stars (Gwyneth Paltrow, Courtney Love...), obsédé par l’argent et irrésistible manipulateur, prend progressivement le contrôle sur la vie de Marty : après l’avoir isolé de sa famille et poussé au divorce, Ike parvient carrément à devenir PDG de l’entreprise de Marty, cosignataire de son compte bancaire suisse et héritier de sa sublime demeure des Hamptons. Portée par le duo exceptionnel Will Ferrell - Paul Rudd, cette comédie noire comme on les aime montre la descente aux enfers très réaliste d’un homme qui avait tout pour être heureux.
Dès le 12 novembre sur Apple TV+
Paraíso
Pour qui ? Ceux qui attendent la nouvelle saison de Stranger Things avec impatience.
Fin de l'été 1992, sur la côte espagnole. Trois jeunes filles de 15 ans, Sandra, Eva et Malena, disparaissent mystérieusement dans une boîte de nuit. Face au manque d’efficacité de la police locale, Javi, le petit frère de Sandra, mène sa propre enquête. Avec l’aide de ses meilleurs amis et de la brute de la classe, il découvre que les kidnappeurs viennent d’un monde parallèle. Les ados réalisent alors que leur vie pourrait bien être en danger. Présentée au festival Cannes Séries début octobre, Paraíso est LA série fantastique à ne pas manquer : couleurs pop et ambiance rétro des années 90, surnaturel, voyage dans le temps, nouvelle génération d’acteurs hyper talentueux… Une vraie découverte en 7 épisodes, qu’on ne serait pas étonné·e·s de retrouver à la tête des incontournables de myCanal.
Dès le 11 novembre sur Canal+
Pretty Little Liars : The Perfectionists
Pour qui ? Les inconditionnel·le·s de Pretty Little Liars, aka PLL pour les intimes.
Quelques années après le happy ending de la série originale, Alison DiLaurentis (Sasha Pieterse) quitte sa femme et décide de faire table rase de son passé en déménageant à Beacon Heights, banlieue chic à la Desperate Housewives. Mais derrière les apparences se cachent secrets, mensonges et manipulations. Lorsqu’un meurtre est commis au sein de la communauté, la vie des habitants bascule et Alison ne peut s’empêcher de partir à la recherche du meurtrier. Good news : on retrouve tous les ingrédients qui avaient fait le succès de PLL (bandes de potes, enquête à résoudre, romances) dans ce spin-off qui suit les aventures de deux des personnages préférés du public, Alison DiLaurentis, et Mona Vanderwaal (Janel Parrish). Warning : il n’y aura pas de saison 2, donc préparez-vous à une fin plutôt abrupte...
Dès le 12 novembre sur SALTO
© Warner Bros. Entertainment, Inc.
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