La signature de Stella Pardo ? Des pulls, gilets et manteaux doudous en laine d’alpaga aussi comfy et légers que des couvertures. Bref, tout ce dont on rêve en ce moment. Et ça tombe bien, la griffe parisienne s’offre sa toute première boutique rue de Turenne, en plein Marais, pour pouvoir enfiler in real life toutes ses merveilles dans un écrin trop beau. Tour du proprio.
Charme 70’s
Flanquée de son chapeau, de ses bottines à talons et de son long manteau, la créatrice Cinthya Guerrero a voulu recréer dans sa boutique une atmosphère seventies et green du meilleur goût. Mobilier de designer vintage (paravent Baumann, table Ravello...), velours, matières biodégradables et naturelles comme le bois, la taule, le métal, les fleurs séchées, mannequins en coton recyclé, banquette pimpée de tissus chinés au marché Saint-Pierre…
Une boutique où tout est à vendre
Chaque détail a été choisi pour donner l’impression d’un appartement qu’on imagine digne de Loulou de la Falaise. Et good news : tout est à vendre.
Non seulement les fringues, obviously, mais également tout ce qui a été précédemment cité, en ajoutant des vases, les fantastiques tapis et coussins en alpaga - tellement chics pour réchauffer son salon. En prime, on pioche dans le panier à ceintures vintage des merveilles en cuir (entre 30 et 40 €) dénichées par la créatrice et capables d’accessoiriser les beaux pulls de la maison.
Vestiaire gypset
Ici, c’est un peu le paradis de la gypset, cette modeuse à mi-chemin entre la bohème chic d’Ibiza et la jet-setteuse de Monaco. On s’imagine en vacances avec Yves Saint Laurent en essayant les dizaines de pulls : gilet sable (445 €), manteau chocolat (780 €), cardigan long à franges (480 €), col roulé tout doux (260 €)... Chaque maille est fabriquée par des femmes au Pérou (le pays d’origine de la patronne), d’où la laine provient également : “Choisir la matière dans le pays où je vais produire le vêtement, c’est simplement la base de l’écoresponsabilité”.
En plus des mailles signatures, Cinthya Guerrero utilise également des chutes de tissus, trouvées encore au Pérou, pour décliner des jupes colorées en petites quantités : rose et rouge à motif (250 €), violette à volants (235 €)... Mais aussi des chemisiers aériens brodés en Inde dans les plus belles soies (365 €), des sandales roses fourrées d’alpaga (390 €) et un joli sac fait main en coton bio et lurex doré (355 €). Et pour boucler la boucle de l’effet concept-store, Stella Pardo invitera régulièrement des marques amies pour présenter ses pièces préférées. En ce moment : les petits sacs en bois d’Helena Denize (270 €).
Ouvert de 11h à 19h30 du mardi au samedi et le dimanche après-midi.
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