© Repetto - Atelier Renata
La fashion week bat son plein dans un Paris vibrant et illuminé de soleil : zéro raison, donc, de squatter son canapé tout le week-end ! Parmi les événements les plus hype du moment : un repas italien buonissimo mitonné par la cheffe Erika Blu, un drink dans les bars les plus fréquentés par la faune mode de passage, les Journées du film sur l’art au Louvre où peintures et autres disciplines artistiques se font écho, des happenings éphémères signés Repetto, Longchamp ou encore Alohas… Et pour la team design, rendez-vous au salon Matter and Shape qui concentre aux Tuileries les studios les plus désirables. Reste à enfiler son meilleur look de mi-saison et roulez jeunesse !
Trinquer dans Des bars stylés
Voir et se faire voir pendant la fashion week reste un art que maîtrisent particulièrement les Parisien·ne·s. Et pour cause : la capitale de la mode regorge de spots prisés par les D.A., top models, stylistes et autres créatifs de la fashionsphère. Si on vous a déjà fait la liste des tables préférées de ce joli monde, on vous conseille ce week-end d’aller trinquer dans ces trois bars parmi les plus prisés. Il y a d’abord celui du Maxim’s évidemment (3 rue Royale, Paris 1er), où il faudra montrer patte blanche – et jolie robe – pour pouvoir s’offrir les mythiques cocktails Onassis, Streisand ou Hepburn (19 €) et des crevettes croustillantes à tremper dans une mayo au citron (25 €) dans un superbe cadre Belle Époque. Parmi les habitués ? Gigi Hadid, Cara Delevingne, Katy Perry, Olivier Rousteing, Jared Leto, Eva Longoria… et bientôt vous.
Plus pointu, Cravan (165 boulevard Saint-Germain, Paris 6e) déroule le chic et le cool sur 4 étages. Au premier, dans un décor de marbre vert hallucinant, on sirote les potions signatures du génial Franck Audoux : Troca (vin, orange, eau pétillante, 15 €), Royal Basilic (22 €) ou Birne (vin de poire, cordial de poiré, palo cortado, 18 €) et de sublimes agapes (pissaladière 12 €, huîtres 17 €, ravioles de tourteaux 26 €). Tout est beau, tout est délicieux, et les belles rencontres y sont quasi systématiques : notre valeur sûre.
Enfin, les new faces et jeunes dans le coup se retrouvent habituellement chez Bambino (25 rue Saint-Sébastien, Paris 11e), ce sympathique bar à vinyles dans le Haut Marais. Dans une atmosphère tamisée et au son d’une playlist hautement chill, les cool kids y partagent un tempura de courges spaghetti, aïoli et poutargue, des Saint-Jacques snackées et des moules marinières (3 assiettes 50 €). Mais le point fort de Bambino, c’est sa sélection de chouettes références de vins (verre entre 10 et 12 €) et de cocktails pression (14 €) dont notre préf’ : le Dumile bourbon pêche.
© Bambino - Maxim’s par Romain Ricard - Cravan
S’offrir une part de chic
Comme tous les ans, nos griffes préférées rivalisent de créativité pour inclure les Parisien·ne·s aux festivités de la fashion week grâce à des événements et pop ups éphémères. On commence avec Longchamp, qui installe carrément un potager devant l’Opéra Garnier (8 rue Scribe, Paris 9e) ! Au programme : ateliers de rempotage et conseils en potager, consultations astrologiques autour des légumes, cadeaux botaniques en tous genres et Photobooth green pour immortaliser l’instant.
Direction ensuite le Marais dans la boutique Alohas (120 rue Vieille du Temple, Paris 3e) dont on raffole des souliers et nouvelles sneakers satinées. Pour chaque visite, on vous remet un jeton qui permet de se voir offrir un latte gratuit chez Cortado, notre coffee shop chouchou à deux pas (31 rue Charlot, Paris 3e). À l’occasion de cet Always Latte Club éphémère, on attrape d’office le merch’ trop mimi et collector avec t-shirts et stickers.
Pour une pause café à l’ambiance #BalletCore, on fonce à l’adorable Café Rose, lové dans la boutique Repetto du Marais (51 rue des Francs Bourgeois, Paris 4e) et ouvert samedi toute la journée. Matcha, latte ou chocolats chauds seront offerts par la Maison ! On en profite pour se mettre à la tendance ballerine en essayant les paires délicieusement girly de la nouvelle collection.
Retourner au musée du Louvre
Du 5 au 9 mars, le Louvre met à l'honneur les films qui célèbrent l’art. Pour sa 18e édition des “Journées du film sur l’art”, le plus beau musée du monde prépare une sélection de 20 films inédits et des performances lives aux thèmes éclectiques : peinture, danse, performance, mode… Entre deux événements Fashion Week, les férus de mode pourront profiter de deux séances de ciné qui explorent les dialogues féconds entre mode et 7e art, à l’occasion de l’expo en vogue Louvre Couture. Au programme ? Un hommage à l'enfant terrible de la mode britannique Alexander McQueen, mais aussi une séance florilège commentée par l’iconique chroniqueur de mode Loïc Prigent ce vendredi 7 mars dès 15 heures. S’instruire n’a jamais été aussi fashion !
Le samedi, on nous invite à flâner entre grandes œuvres et musique, où le duo Birds on a Wire sera filmé dans les collections de peintures flamandes et françaises. Une invitation à (re)découvrir les révolutions artistiques de Cimabue à Giotto, à admirer la maîtrise des couleurs chez Titien, ou encore à s'émerveiller devant les œuvres du grand maître Léonard de Vinci.
Journées du Film sur l’Art - 2025, du 5 au 9 mars 2025 au Musée du Louvre, 8 rue Sainte-Anne, 75001 Paris. Entrée par réservations ou sur place, plein tarif : 10€.
© Julien Da Costa © Anne Van Aerschot
Se mettre à jour sur la nouvelle garde du design
C’est le rendez-vous immanquable des passionnés de design ! Du 7 au 10 mars, le salon avant-gardiste Matter and Shape fait son come-back pour sa 2e édition aux Tuileries. Vitrine d’exception sur les designers contemporains, on y attend 50 exposants parmi les plus désirables du moment. Un événement signé Matthieu Pinet (figure des événements mode et luxe tel que le salon Who’s Next), qui profite d’un pavillon designé par Willo Perrin (à l’origine du flamboyant midtime show de Rihanna au Super Bowl 2023). Nos coups de cœur : les meubles en bois de Heaps and Woods, la qualité française du mobilier de Chapo Création, les lampes ultra-modernes d’Unknown Untitled ou les verres colorés totalement funky de Laguna B.
Point d’orgue du salon : le studio culinaire créatif We Are Ona dévoile son nouveau pop-up ! Les fins gourmets sont attendus pour découvrir la collaboration entre Luca Pronzato, fondateur du studio et organisateur des plus chics dîners privés de Jacquemus ou de Chanel, et de la cheffe Imogen Kwok, déjà connue pour brouiller les frontières entre sculpture et art de la table par ses appétissantes compositions géométriques. Une expérience culinaire unique et éphémère au cœur du paysage design actuel. Comptez 120 € pour un déjeuner en 6 temps, 190 € pour un dîner en 8 temps.
Salon Matter and Shape, du 7 au 10 mars 2025 au Jardin des Tuileries, entrée du salon 40 €.
© Heaps and Woods © Alighieri
Booker la table éphémère d’Erika Blu
Son nom ne vous dit peut-être rien, et pourtant la table d’hôtes de la cheffe italienne Erika Blu compte parmi les rendez-vous incontournables à Marseille. Atelier Renata, élue meilleure table d’hôte Fooding 2024 et reprenant le nom de sa nonna, s’installe jusqu’à dimanche à L’Atelier Lardeur, un mignon lieu ultra-confidentiel à deux pas du Bon Marché. L’idée ? Un dîner chaque soir à 20h en collaboration avec la coutellerie Sabre Paris autour du “mangiare bene” (bien manger en VF), reprenant les codes de la Domenica Italiana, cet art des repas du dimanche qui durent, qui durent.
Dans cet espace résolument intimiste, on s’installe à la lueur des bougies, on fait connaissance avec ses voisins de table, on se délecte des notes de piano en live et, surtout, des bons petits plats d’Erika. Au programme de ce menu unique pour toute la tablée : une farandole d’entrées, deux plats et un chariot à desserts célébrant l’héritage de la cucina povera qui sublime des ingrédients simples mais de grande qualité : artichauts à la juive, polpette, tagghiasche pangrattato, anolini parmigiano... Tutto bene !
Pop-up Atelier Renata chez Atelier Lardeur, du 28 février au 9 mars au 79 rue du Cherche-Midi, Paris 6e. 120 € hors boissons.
S’offrir une soirée à l’espagnole
C’est tout nouveau ! Pignon sur la rue hyper animée du faubourg Saint-Denis, la table espagnole Buenas vient d’ouvrir ses portes pour insuffler un vent ibérique dans le 10e. D’emblée, on est accueilli par un faux torero à tête de taureau, puis les tables s’articulent en “U” autour d’un four géant. Derrière chaque tablée, l’affiche d’un film de Pedro Almodóvar et des petits objets enfantins qui rappellent la thématique du film (par exemple devant l’affiche de La Mala Educación : des mini ballons de foot). Au fond, une madone (de rigueur ! ) protège l’assemblée…
C’est dans ce décor sympathique que le patron Toufik Seddik, mordu d’Espagne, propose des tapas caliente : piquillos rellenos (8 €), croquetas au chorizo (8 €), tortilla (9 €), patatas bravas (8 €), cordero asado (épaule d’agneau et purée, 15 €) ou encore un arroz de marisco, sorte de riz grillé aux fruits de mer et à l’encre de seiche (13 €). On termine forcément avec les churros à tremper dans un chocolat aux épices (8 €). Top ce samedi, comme tous les premiers du mois : la soirée Buenísima en compagnie d’une chanteuse qui enflammera les deux services de sa voix suave, prétexte idéal pour réserver sa table et s’ambiancer autour d’une carafe de sangria (23 € le litre).
Buenas, 83 rue du Faubourg Saint-Denis, Paris 10e. Ouvert du mardi au samedi de 9h à 1h. Menu déjeuner : entrée + plat + dessert = 20 €
© Stéphane Armando Garcia
Mettre de la couleur dans sa vie
De toutes les matières, c’est le wax qu’on préfère ! Sur la place du Trocadéro, l’expo ultra-colorée célébrant le wax squatte le Musée de l’Homme. Vous connaissez forcément ce tissu aux couleurs éclatantes et aux motifs hyper originaux imprimés à la cire, qui trouve son succès dans de nombreux pays d’Afrique. Originaire d’Indonésie, le wax a traversé le monde entier (il est surtout produit en Hollande ! ) et nous est arrivé à Paris pour cette expo incontournable.
Au programme : des photographies, de sublimes robes ou encore de grandes œuvres abstraites réalisées avec cette matière reconnaissable entre mille. Coup de cœur pour les photos de Seydou Keïta et de Thandiwe Muriu qui représentent des femmes vêtues d’immenses robes et turbans en wax, ainsi que pour les cartels explicatifs imprimés sur du wax. Une vraie explosion de couleurs et de motifs qui se prolonge dans l’espace boutique du musée où l’on peut carrément investir dans des robes et autres accessoires dans le ton.
WAX, Musée de l’Homme, 17 place du Trocadéro et du 11 Novembre, Paris 16e. Jusqu’au 7 septembre 2025.
© MNHN - A. Iatzoura
Voyager au pays du soleil levant
Ce week-end, c’est 100 % Japon à la Cité Fertile : le meilleur brocanteur japonais de Paris, Koji Fukushima, a réuni objets rares et trésors vintages pour LA grande brocante japonaise de l’année. On file à Pantin pour la 6e édition de cet événement incontournable, qui ravit chaque année les fadas de culture nipponne. Cette fois, il s’associe à l’illustrateur Paheime pour créer le grand Yokocho, donnant l’impression d’un petit village japonais avec des stands d’artisans et tout un tas d’activités. Au programme : une braderie XXL idéale pour faire le plein de cadeaux et un food court débordant d’échoppes pour dévorer des spécialités nippones dont des onigiris à tomber par terre.
À rafler sur place : kimono, vaisselle traditionnelle, poteries et céramiques, bouteilles anciennes de saké en grès, accessoires pour le thé, kakejiku (peinture ou calligraphie sur soie ou sur papier), magazines rétro et pâtisseries traditionnelles !
La grande brocante japonaise, La Cité Fertile, 14 Avenue Edouard Vaillant, 93500 Pantin, de 12 h à 19h.
© Laura Breidt
Revivre Saturday Night Fever pour de vrai
Guilty : on avoue se refaire Mamma Mia chaque été pour ses musiques et ses costumes iconiques. Mais pour se plonger dans l’univers disco d’il y a un demi-siècle déjà, il faut courir (en bottes à plateformes ! ) à la Cité de la Musique. L’expo Disco, I’m coming out ! nous plonge dans le bain ! Parce que le disco, ce n’est pas qu’un genre musical : c’est tout un univers vestimentaire et de revendications sociales, puisque les 70’s ont été la décennie du combat pour les droits des femmes et des minorités raciales et sexuelles. Aujourd'hui, l’impact de cette musique festive et politique est plus d’actualité que jamais, et les pattes d'eph’ reviennent à la mode.
Sur une playlist 100 % disco, au milieu d’espaces qui ressemblent à des dancefloors illuminés au néon et aux boules à facettes, on admire des objets cultes des seventies, allant des tenues typiques au matériel d'enregistrement des musiques en passant par des éléments de déco, de photographies et d’œuvres d’arts prêtées entre autres par le Andy Warhol Museum de Pittsburgh. De quoi se sentir comme une Dancing Queen, young and sweet, only seventeen !
Disco, I’m coming out, la Cité de la Musique, 221 avenue Jean Jaurès, Paris 19e. Jusqu’au 17 août 2025.
© Arnaud Baumann-Bustier et © Joachim Bertrand - Philharmonie de Paris
Dévorer les meilleurs tacos de Paris
C’est tout nouveau ! Près des Champs-Élysées vient d’éclore Tio, une super adresse mexicaine, trustée au déjeuner par toute la team business du quartier venue attraper ses burritos à emporter. Mais avec son joli décor digne d’un Tulum de poche, Tio se réserve aussi (surtout ? ) le soir venu pour entamer directement les hostilités avec des cocktails voyageurs, uniquement à base de tequila et de mezcal. Margarita Picante, Mexican Mule ou Picante Mango Margarita (14 €) jouent les premières parties, accompagnées de nachos au ragoût de bœuf (10 €), de tequenos au fromage fondant (10 €) ou d’un ceviche parfumé, en attendant les vedettes de la soirée…
Visez plutôt ces petites bombes de tacos ! On les assortit par trois (18 €) : Al Suadero au confit d’agneau, Vegetariano aux champignons et crème d’avocat, Al Pastor à la poitrine de porc marinée, Arrachera au bœuf à la plancha, Tinga de Pollo au poulet et sauce chipotle ou encore le Special Tio garni d’un tempura de gambas et mayonnaise ultra-food porn. Le plus dur reste encore de choisir… On termine par une curiosité : un Arroz con leche, un riz au lait de coco aux fruits de saison et à la cannelle (5,50 €). Autant de kifs à savourer dans un tout petit écrin où il fait bon vivre. Avis aux groupes de potes : la confortable salle du fond, toute arrondie, vous est dédiée pour trinquer en toute intimité.
Tio, 1 rue Saint-Philippe-du-Roule, Paris 8e. Ouvert le midi en semaine et le soir du mardi au samedi jusqu’à 23h.
Ausculter les USA à travers la street photography
“Capter l’esprit du peuple américain” à travers des photographies d’inconnus dans la rue, c’est ce qu’ont tenté de faire les photographes Louis Faurer, Jill Freedman, Dave Heath, Danny Lyon, Joseph Sterling et Garry Winogrand dans les années 1950 à 1970. La Galerie rouge organise actuellement l’exposition collective American street Photography, qui donne à voir leurs émouvants clichés en noir et blanc de l'Amérique de l'après-guerre, mais aussi celle du militantisme et du désenchantement.
Dans une démarche d'observation – ou au contraire, de confrontation – les artistes célèbrent la spontanéité en prenant des photos sur le vif, créant un véritable sentiment d’authenticité. La rue est alors le théâtre de la société américaine et de ses contradictions, et nous, les spectateurs de son histoire. Poignant !
American Street Photography à la Galerie Rouge, 3 rue du Pont Louis-Philippe, Paris 4e, du 23 janvier au 15 mars 2025. Entrée gratuite.
© La Galerie Rouge
Apprendre à confectionner ses propres gnocchi
Pas besoin de réserver des vacances en Italie pour apprendre à faire ses propres pâtes. On fonce chez Claudio, au cœur du 11e arrondissement, pour s'initier à l’art délicat de la confection de gnocchi. L’Italien vous accueille autour d’une coupe de prosecco, histoire de bien se mettre dans le bain. Ensuite, après vous avoir désigné les ingrédients essentiels, vous mettez littéralement la main à la pâte, mélangeant œufs et farine avant de la pétrir vigoureusement à la force de vos biceps puis de former vos petits gnocchi à la forme si caractéristique.
Ce véritable voyage en Italie se termine bien sûr par une dégustation ultra-conviviale de produits traditionnels italiens choisis soigneusement par Claudio qui accompagnent vos gnocchi, avec une sauce maison évidemment ! Vous repartez le ventre heureux et avec plein de recommandations d'épiceries italiennes et de restaurants validés par un vrai du pays. Mamma mia !
Créer son sac en tissus de palace
La scène mythique de la “robe rideau” de Scarlett O’Hara, vous l’avez ? Avis aux aficionados de l’upcycling, qui a fait de la slow fashion un must permettant de faire du beau… avec de l’ancien ! Philomène, styliste spécialisée dans la transformation de matériau de palaces, propose un atelier DIY comme vous n’en avez jamais vu auparavant. Son atelier, lové au cœur du 6e arrondissement, vous accueille pour que vous créiez votre propre sac à base de tissus issus des coussins et embrasses tout droit venues du Meurice !
Philomène vous accueille pour vous guider dans votre choix de tissu, avant de vous initier aux techniques artisanales de couture et d’assemblage de ces matériaux d’exception. Avec les sublimes tissus aux couleurs qui respirent l’élégance et le grand luxe, aux beaux motifs texturés et dorés, vous constituez votre vraie œuvre d’art. Vous repartez chez vous avec un sac absolument unique et 100 % personnalisé !
Admirer la cavalière des J.O. pour de vrai
Scotchés à nos écrans ou bien euphoriques dans les gradins montés le long de la Seine, nous sommes tous restés bouche bée lors de la sortie de la cavalière sur l’eau du fleuve lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris. En armure argentée rutilante, avec sa sublime cape faite du drapeau des Jeux, la figure mystique, qui n’était pas sans rappeler Jeanne d’Arc s'élançant à l’assaut des Anglais, a remonté la Seine sous le feu des projecteurs.
L’identité de la cavalière est restée secrète, mais pas son armure. La sublime création est exposée à partir du 8 février au Palais Galliera, au sein de son exposition La Mode en Mouvement #3. Cette expo (recelant par ailleurs de créations Hermès, Balenciaga et Chanel) questionne la façon dont le sport inspire la mode et comment la fashionsphère s'est aussi immiscée dans le monde du sport. La créatrice de prêt-à-porter Jeanne Friot et Robert Mercier, un maroquinier, ont conçu cette œuvre iconique qui sera sans aucun doute le point d’orgue de l’expo au Palais Galliera.
La Mode en Mouvement #3, Palais Galliera, 10 avenue Pierre 1er de Serbie, Paris 16e. Du 8 février au 12 octobre 2025.
Réserver le dîner le plus cool du moment
C’est le dîner le plus sexy du moment, à réserver pour une grande tablée de 6 à 8 personnes. Planquée au fond de notre restaurant chouchou Rivages à l’hôtel 5 étoiles Sofitel Le Scribe Paris Opéra, une jolie salle accueille désormais des dîners très privés combinant les talents du chef cuisinier Martin Simolka et du chef barman Roberto Catalano. Une fois par mois le vendredi (la grande première se tiendra ce 31 janvier ! ), les deux complices préparent sous vos yeux un dîner d’exception à 4 mains d’une durée d’environ 2h30 (150 € par convive). Pendant que Martin présente ses assiettes, Roberto, installé à l’autre bout de la table, prépare des cocktails d’auteur en pairing pour sublimer les plats.
Au menu de ce repas follement chic et sympathique en 6 temps : un spectaculaire tartare de bœuf, une huître et son granité citron passion ou encore des Saint-Jacques condiment noisette, parmi d’autres joyeusetés aussi savoureuses que colorées dont on vous garde la surprise. Sympa : Roberto vous chuchote ses meilleures adresses parisiennes pour trouver les alcools rares qu’il utilise dans ses potions. Communicative, leur complicité évidente place toute l’assemblée dans un mood particulièrement joyeux, qui donne l’impression d’un dîner gastronomique organisé à domicile. Une expérience à partager avec sa bande de gourmets préférés.
Rivages Supper Club, lancement le 31 janvier puis un vendredi par mois à 19h30. Uniquement sur réservations sur thefork.fr. Restaurant Rivages au Sofitel Le Scribe Paris Opéra, 1 rue Scribe, Paris 9e.
© Géraldine Martens
Réserver un brunch de haute volée
Après avoir régalé les fines bouches à leur table Quelque part… Les Abysses, Florian Barbarot et le chef sucré Pierre-Henry Lecomte récidivent avec une adresse qui envoie du rêve : Quelque part… La Matière. Nichée dans leur cher 9e arrondissement, cette pâtisserie propose des créations audacieuses : tarte au citron twistée au thym, alliance chocolat-fenouil-anchois ou encore mousse laitière aux myrtilles et bourgeons de sapin sur biscuit nantais.
À l’étage, une salle cosy avec vue sur la cuisine accueille les amateurs de brunch, servi du mercredi au dimanche de 10h30 à 16h. Ici, le brunch se décline en trois formules pensées pour toutes les envies : Matière Sucrée avec viennoiseries, pâtisseries, pain et confitures artisanales, yaourt et salade de fruits (35 €), Matière Salée comprenant quatre mezzés au choix (taboulé quinoa-brocoli-yaourt, croque-monsieur céleri-truffe, pain perdu au panais, crudités et soja, pomme de terre, mousseline et bœuf rôti ou encore risotto au poulet, parmesan et cajou, 39 €) et Matière Mixte qui combine sucré et salé pour une expérience ultime (47 €). Le tout, arrosé de boissons chaudes et de jus de fruits pressés à volonté.
Quelque Quelque part... La Matière, 48 rue du Faubourg Montmartre, Paris 9e. Brunch disponible du mercredi au dimanche de 10h30 à 16h. Réservation fortement conseillée.
© Lucrezia Vozza
S’improviser photographe dans les rues de Paris
Et si vous troquiez vos scrolls TikTok contre une masterclass photo en plein cœur de la capitale ? Smartphone à la main, rejoignez un petit groupe guidé par un photographe pro qui vous livrera toutes les clés pour capturer LA photo parfaite. Des parcs aux rues animées en passant par les plus beaux bâtiments de Paris, vous apprendrez à composer des clichés dignes d’un portfolio. De quoi révéler l’artiste qui sommeille en vous et d’envoyer Steve McCurry au placard !
Au programme : trois heures chrono de pur apprentissage photo durant lesquelles vous maîtriserez l’art de composer et de cadrer une image en suivant les règles essentielles de la composition. Le tout en boostant la dynamique de vos clichés et en sélectionnant les meilleurs cadrages. L’objectif ? Savoir vous positionner comme un pro face à votre sujet pour donner un vrai impact à vos photos. Bonus : vous apprendrez à sublimer vos chefs-d’œuvre grâce aux outils de retouche intégrés. Et bien entendu, un support imprimé pour mémoriser tous ses tips vous sera fourni !
Cours de photographie, 22 rue Beaubourg Paris 3e, 3h, jusqu'à 8 personnes.
Concocter son soin sur-mesure chez Laboté
Dans la charmante boutique Laboté, l’adresse bien gardée des skincare-addicts, on découvre des soins formulés à base d’actifs frais, parfaitement dosés pour répondre aux besoins spécifiques de la peau. Et avec sept ans d’écoute attentive des avis clients, autant vous dire que la sensorialité, l’efficacité et la tolérance sont ici des priorités sacrées. À l’arrière de la boutique : un laboratoire de pointe, entièrement visible, où chaque soin est conçu sous vos yeux. Pourquoi on l’aime tant ? Au-delà des incontournables de la marque, sachez que vous pouvez repartir avec votre soin sur-mesure (crème (80 €), sérum (89 €) ou contour des yeux (85€)) entièrement adapté à votre peau.
Le concept ? Déborah et Carole, les expertes cosmétiques de la maison, vous accueillent avec un diagnostic peau aux petits oignons afin de sélectionner les actifs qui vous correspondent le mieux. Rien n’est laissé au hasard : votre type de peau, votre âge, le climat et vos petits tracas (taches, boutons, premières rides…) sont analysés. Vous choisissez même la texture et le parfum de votre soin. Ensuite, direction le labo, où les actifs sont laissés entre les mains de pro qui vont concevoir votre soin. Résultat ? Un soin hyper ciblé, efficace et sans mauvaises surprises (allergies, irritation). Vous repartez avec votre produit dans les 30 minutes en semaine, ou en click & collect si c’est le week-end.
Laboté, 3 rue Keller Paris 11, 01 87 44 23 33. Ouvert du mercredi au samedi de 11h à 19h.
Réservation en ligne pour créer son produit sur-mesure.
© Laboté
Déjeuner pour seulement 20 € à Montmartre
Perché dans le quartier le plus romantique de Paris, l’Almanach Montmartre nous a charmés. Derrière les fourneaux, le chef Léo Giorgis (ex-Silencio des Prés) s’amuse avec des produits de saison pour créer des plats bien Frenchie twistés avec des inspirations venus des quatre coins du monde. Le résultat ? Généreux, surprenant, coloré et totalement instagrammable !
Dans l’assiette : au déjeuner, les formules font de l'œil au porte-monnaie (entrée + plat 20 €, entrée + plat + dessert 24 €). Et là, c’est l’embarras du choix : chèvre pané au condiment coing miel gingembre, poireau grillé, œuf confit et huile de truffe blanche, ou encore la joue de bœuf braisée avec sa purée maison ultra-fondante. Team poisson ? La fregola sarda, saumon et poutargue est une embellie. Pour clore sur une note sucrée, on se laisse tenter par la mousse mangue-ananas et Granny Smith. Le soir, ça se corse : raclette aux trois saveurs (14 €), risotto de Saint-Jacques (28 €) ou burger de sanglier (28 €). Le festin se termine en douceur avec une divine crème brûlée au jasmin (13 €).
Le truc en plus : ici, les pinceaux et les fourchettes font bon ménage, et les murs changent d’humeur au gré des expos d’artistes qui inspirent la carte du chef. En ce moment par exemple, les œuvres poétiques de l’artiste plasticienne Janique Bourget habillent les murs de papier, d’or et de laiton.
L’Almanach Montmartre, 35 rue Ramey, Paris 18e, 01 53 41 13 45. Ouvert tous les jours midi et soir.
© Almanach Montmartre
Créer son propre tapis arty
Pour 2025, le minimalisme reste au placard ! On pimpe son intérieur en variant les styles avec des objets aussi design que loufoques, tantôt avec des pièces chinées, tantôt avec des créations cousues main ! Quoi de mieux qu’un tapis 100 % personnalisé pour habiller un lieu plein de vie, dans lequel une véritable histoire se raconte ?
Direction le 5e arrondissement de Paris pour s’initier au tufting : une discipline dans le vent qui permet de créer son tapis à l’aide d’un pistolet à laine. On commence par choisir le motif ainsi que les couleurs et les laines que l’on souhaite utiliser. Pilotés par Siyi, on façonne son tapis en commençant par reproduire son dessin sur la toile, on laisse parler l’artiste qui sommeille en nous et place aux finitions : découpe, collage de la bande de toile, rasage et hop, le tapis de vos rêves est fin prêt !
Le truc en plus : moyennant des frais supplémentaires, il est également possible de créer son propre coussin, miroir ou encore sac en tufting.
S’abonner à un cours de sport 100 % feel good
Après les excès des Fêtes à base de chocolats, foie gras et soirées canapé, il est temps de sortir du mode hibernation. Pas besoin d’être un athlète olympique pour s’y remettre : Swedish Fit (le nom sexy de la gym suédoise) vous ouvre ses bras avec une formule accessible à tous. Le mot d’ordre ? Bien-être, fun et zéro compétition. Que vous vouliez tonifier votre corps, vous défouler, perdre quelques grammes ou juste vous éclater, voilà THE place to be pour booster votre silhouette et chouchouter votre mental dans une ambiance bon enfant.
Le concept ? Des cours collectifs rythmés par des playlists ultra-motivantes, où tout le monde évolue ensemble en cercle autour d’un coach qui vous guide pas à pas. Pas d’esprit de compétition ici, mais 20 activités variées pour trouver votre bonheur : soft, intensif, cardio hiit, cardio pump, circuit, dance, clubbing mais aussi Yoga et Pilates. Au menu : échauffement, cardio, renforcement musculaire et stretching, pour une séance complète qui fait autant de bien au corps qu’à la tête.
Le truc en plus : ce concept nous vient tout droit de Suède, où la méthode est considérée d’utilité publique grâce à son impact positif sur la santé. D’ailleurs, Swedish Fit fait partie des élus du “sport sur ordonnance” en France, qui permet aux structures de prodiguer des cours moins chers.
Swedish Fit, ouvert tous les jours dans toutes les salles. Planning en ligne. Réservation en ligne pour un abonnement illimité (49 € par mois) ou un cours à l’unité (12 €). Informations sur les lieux des salles en ligne.
© Swedish Fit
Se la jouer Michelange de la céramique
Vous avez besoin de vous occuper les mains et vous sentez l’inspi monter ? Plongez-vous dans la fabrication d’objets en céramique autodurcissante à peindre selon vos préférences ! Que vous vouliez modeler des petits pots, des décorations, des vide-poches, des bougeoirs… tout devient possible à l’atelier de Noura dans le 17e arrondissement.
Au programme : vous apprenez les techniques et les bases du modelage céramique, vous laissez libre cours à vos idées sous les bons conseils de la spécialiste, puis vous repartez chez vous avec vos créations minutieusement décorées selon vos goûts (sans aucun besoin de cuisson au four), prêtes pour épater la galerie ! Tips : vos œuvres peuvent même être un super cadeau homemade à offrir.
Le truc en plus : l’atelier Art & Bulle de Noura propose même des privatisations allant jusqu’à 24 personnes, idéales pour s’offrir ces ateliers en famille ou pour organiser des anniversaires.
Découvrir le Cuba sauvage… en plein Montmartre !
Après Marseille, Bordeaux, Lille et Lyon, le rhum cubain Eminente arrive à Paris et investit jusqu’en mai prochain le rooftop du Terrass” Hotel pour installer les Caraïbes… en plein Montmartre ! En plus de sa vue panoramique sur Paris, Terraza Eminente invite à découvrir le style du centre de l’île dans un décor authentique cubain avec lumières tamisées, miroirs mouchetés, tapis colorés, sièges en rotin ou velours, plantes verdoyantes et autres meubles chinés signés Selency.
On retrouve évidemment à la carte 7 cocktails signatures, tous élaborés à partir du rhum Eminente : l’acidulé Cayo Coco Daïquiri (jus de citron, sirop de sucre, 15 €), le fruité Precioso Porn Star (purée de passion et sirop de vanille, 17 €) ou encore l’exotique Sol y Plàtano (liqueur de vanille, sirop de banane flambée, jus de citron jaune, 17 €).
Le truc en plus : les saveurs du centre de l’île de Cuba, qui ont inspiré la carte, se retrouvent dans l’assiette avec des empanadas de poulet piquant accompagnées de leur sauce mojo criollo (18 €), des soufflés à l’avocat et à la mangue frais et relevés (15 €), un étonnant ceviche de daurade au gingembre et citron servi avec du maïs grillé (23 €) ainsi que des huîtres à la mangue et émulsion coco (21 € les 6).
Terraza Eminente au Terrass”Hotel, 7e étage, 12-14 rue Joseph de Maistre, Paris 18e. +33 1 46 06 72 85. Rooftop ouvert en accès libre jusqu’en mai 2025, du mardi au samedi de 15h30 à 00h30 et les dimanches et lundis jusqu'à 23h30.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.
© Terraza Eminente
Se prendre pour Da Vinci dans un Paris rêvé
C’est l’atelier dessin qu’on attendait pour croquer Paris sous toutes ses coutures ! De la Concorde à la pyramide du Louvre jusqu’aux jardins des Tuileries, on s’offre une demi-journée façon Beaux-Arts en se promenant autour des lieux les plus emblématiques de la Ville Lumière, ne s’arrêtant que pour croquer les belles vues sur papier. Peu importe votre niveau : du néophyte au Picasso avéré, tout le monde est le bienvenu pour s’initier à l’art du dessin le temps de cette expérience aussi inspirante que sympathique, grâce aux anecdotes follement intéressantes que vous prodiguera votre guide / prof du jour. On en ressort prêts à être exposés dans un musée avec 3 heures d’apprentissage de la technique de la planche de BD, du motif floral ainsi que de la perspective. Venez les mains vides : tout le matériel est fourni.
Le truc en plus : si vous avez décidément l’âme arty, foncez au Musée des Arts décoratifs voisin. Vous pourrez alors choisir entre leur expo incroyable sur le thème de l’intime, ou alors celle aux vitrines rutilantes mettant à l’honneur la maison d’orfèvrerie Christofle.
Réaliser le bouquet de ses rêves
Rien de tel qu'une activité manuelle pour couper avec le quotidien et s'offrir une parenthèse de pure détente. Et quoi de mieux que de créer son propre bouquet, entouré de fleuristes passionnés, pour se faire du bien tout en ajoutant une touche florale à son intérieur ?
Le déroulé ? Dès votre arrivée, vous êtes accueillie par Camille, Solenne ou une de leurs talentueuses acolytes. Le ton est donné : convivialité, rires et une bonne dose de bonne humeur, le tout autour d’une boisson chaude. Ensuite, place à la découverte : on vous plonge dans l’univers floral : saisons, provenances, petites astuces… tout y passe ! Après ce petit briefing, c’est à vous de jouer. Vous choisirez vos fleurs parmi une sélection soignée et composez le bouquet de vos rêves avec des fleurs fraîches et de saison.
Le truc en plus : une fois votre création terminée, l’équipe vous donne ses meilleurs conseils pour la conserver en vase ou la sécher comme une pro.
Atelier floral, 53 rue de Belleville, Paris 19e.
Goûter au pot-au-feu de Mauro Colagreco
Le pot-au-feu, symbole de la cuisine paysanne par excellence, serait-il en passe de devenir le nouveau plat à la mode ? C’est le pari que nous prenons. La preuve : Mauro Colagreco, chef et propriétaire de la table 3 étoiles Mirazur à Menton, en dévoile une version follement désirable dans son autre restaurant GrandCœur (une de nos adresses préférées à Paris), planté dans le Marais. Midi et soir, tous les jours de la semaine ainsi que le week-end, il convient désormais de s’y installer pour commander sa grande nouveauté : le pot-au-feu le plus sexy de votre vie (45 €), dans le cadre extraordinaire de cette brasserie new gen’ avec hautes poutres et pierres apparentes.
Évidemment, la version en deux services de Mauro Colagreco ajoute des touches méditerranéennes à cette recette ancestrale. Visez plutôt : on se met dans l’ambiance avec un consommé de légumes aux vermicelles, parfaitement concentré, accompagné d’os à moelle que l’on étale délicatement sur un toast à l’ail et au romarin. Puis le pot-au-feu arrive, magistral, dans sa grosse cocotte en fonte. Si le mijoté de bœuf se pare d’une sauce verte au persil, des pickles de toutes les couleurs viennent apporter une acidité bienvenue, à l’instar de sauces et condiments particulièrement goûteux, signature du chef argentin. En clair : l’option doudou délicieusement réconfortante, à réserver pour de grandes tablées de copains.
Le truc en plus : l’attention particulière portée à l’art de la table pour ce pot-au-feu décidément instagrammable. Mention spéciale pour la soupière et les plats de service chinés et dépareillés, qui donnent l’impression d’être invité·e dans une maison chic à la campagne.
Restaurant GrandCœur, 41 rue du Temple, Paris 4e. Ouvert du lundi au dimanche de 12h à 14h30 et de 19h15 à 22h30.
© Patrick Lazic et Victoire Leriche.
S’initier à l’art du feutrage de figurines
Si vous avez horreur de voir vos petites têtes blondes scotchées à des tablettes, emmenez-les en quatrième vitesse à l’atelier de Yu-Ching. Au menu : la découverte de l’art de la laine feutrée. Vous pourrez réaliser votre propre figurine adorable grâce à la force et la dextérité de vos mains !
À votre arrivée, l’artiste présente son atelier et ses outils, avant d’exposer les thèmes autour desquels réaliser les petites œuvres : animaux de la forêt, dinosaures, tentations culinaires... Vous apprendrez les techniques de bases du feutrage à l’aiguille (on vous le promet, celle-ci ne pique pas : elle sert à modeler la laine !) afin de concevoir votre figurine personnalisée. Amusez-vous à mixer les couleurs pour faire un oiseau, un muffin ou encore un dino le plus funky possible. Le mieux ? Vous repartez chez vous avec votre création, mais aussi avec le savoir-faire. Le bon plan pour occuper ses après-midis pluvieux et monter son armée de figurines en laine feutrée !
Le truc en plus : si votre travail d’artiste vous ouvre l’appétit, on tient le casse-croûte idéal ! Foncez croquer à pleines dents un kebab Sürpriz, blindé de viande de chez Mehmet (le meilleur boucher berlinois que tous les kebabistes s’arrachent).
Customiser sa vaisselle en mode DIY
Coup de cœur sur l’atelier de peinture sur céramique pour occuper vos petites têtes blondes ce week-end ! Foncez au Céramicafé Geneviève dans le 11e arrondissement pour un atelier 100% créatif. Vous avez le choix du support pour votre œuvre d’art entre bol, tasse ou encore assiette. Geneviève la spécialiste en céramique vous fait la démonstration de diverses techniques de peinture et vous guide tout au long de l'atelier pour que votre transfert soit le plus réaliste et beau possible.
À la fin de l'atelier, c’est direction le four à 1 000 degrés pour vos œuvres ! Il faudra être patients : vos créations seront prêtes une semaine plus tard pour être récupérées et exposées dans le salon de chez mamie !
Le truc en plus : après l’atelier, on fonce chez Pépite, la super adresse boulangerie du quartier Faidherbe. Enorme coup de cœur sur leur Boule Cookie à 3,70 €, une petite bombe…
© Céramicafé Geneviève par Celiane Guilbaud
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