Sous ce grand soleil, le mois d’avril est déjà synonyme de renouveau et de bonne humeur ! Vos agendas sont bien ouverts ? La Do It Team a notamment repéré pour vous un nouveau salon de thé totalement givré, des projections dans la maison de Serge Gainsbourg, une virée champêtre pour apprendre à composer son bouquet de fleurs, des cocktails d’enfer à siroter dans un bar aux inspis 2000’s ou encore la nouvelle expo fascinante du musée d’Orsay et un concept-store résolument stylé. À vos agendas !
S’offrir un petit déjeuner chic en diable
On vous a déjà avoué notre passion décadente pour les fruits givrés de Fruttini. Noix de coco, dattes, ananas, fraises ou agrumes deviennent de véritables œuvres d’art à apporter pour le dessert, moyennant un coquet budget et un effet XXXXXL. Si son adresse de la rue Saint-Placide attire les gourmets du Tout-Paris (et pas que de la rive gauche ! ), Fruttini vient d’inaugurer une petite boutique / salon de thé à deux pas de la place de l’Étoile pour déguster sur place ces douceurs glacées… dès le petit déjeuner !
Visez plutôt : pour 19 €, on vous apporte dans ce bel écrin ouaté, tout de vert vêtu, une part de cake ou de viennoiserie avec une boisson chaude et/ou froide au choix (miam : le café latte est une petite bombe). En prime : un kiwi ou une banane givrée pour commencer la journée en faisant le plein de vitamines. Trop joli, trop chic : à instagrammer d’urgence.
Fruttini, 3 avenue Victor Hugo, Paris 16e.
Visiter la dernière expo du musée d’Orsay
© Photo BnF ©Camille Gharbi ©Julien Benhamou
Rendez-vous dans l’expo de musée la plus citadine : le musée d'Orsay et la Bibliothèque Nationale de France s'assemblent pour présenter quelque 200 affiches anciennes ! Un véritable voyage dans le temps dans un Paris en plein essor de la consommation et enclin à un climax du développement de la culture de masse. Si chaque matin vous zappez de vous attarder sur les jolies colonnes Morris près de votre métro, voilà une (re)découverte des plus belles affiches sur lesquelles s’attarder jusqu'en juillet.
On a surkiffé cette exposition qui nous emmène pour une traversée dans un Paris urbain et typique du XIXe siècle ! Cette rétrospective complète offre un regard sur l’effervescence majeure de l’affichomanie dans la capitale, modernisée après les grands travaux haussmanniens. Parce que la rue, la vraie, c’est un lieu de vie, mais aussi d’exposition et de représentation. Ici, l’affiche est un témoin des fantasmes et réalités d’une époque. Ainsi, les codes graphiques et sociaux y sont posés, et repris par des grands noms du genre : Jules Chéret, Henri de Toulouse-Lautrec, Alphonse Mucha ou encore Félix Vallotton. Entre les plus mythiques illustrations des pubs pour les biscuits LU, les affiches trop glamour pour le Moulin Rouge ou encore Aristide Bruant façon Toulouse-Lautrec, on découvre l’impact que cette folie d’affichage a eu sur la vie parisienne, sur les opinions publics, et sur la culture commune. Un médium qui, par sa force de visibilité, a forgé le mythe de La Belle Époque mais a aussi été vecteur de grands messages. Aujourd’hui, le message est plus clair que jamais, l’art est dans la rue autant qu’il trouve sa place dans les musées ! En prime de l’expo : des spectacles signés François Morel toute la première semaine d’avril… mais aussi des conférences, spectacles, et une soirée exclu Moulin Rouge le 24 mai !
L’art est dans la Rue + Ce qu’a vu le pavé et Orsay en scène, du 18 mars au 06 juillet 2025, Musée d’Orsay, Esplanade Valéry Giscard d'Estaing, Paris 7e.
Réveiller le Gainsbourg qui sommeille
Véritable phénomène de la rentrée 2023, l’ouverture de la Maison Gainsbourg a fait couler de l’encre ! Si vous n’y avez encore jamais mis les pieds (dommage : le récit conté par Charlotte colle des frissons), on tient l’occasion d’y remédier. Durant tout le mois d’avril, la dernière demeure du chanteur dévoile un cycle de projections et talks, soutenu par Saint Laurent par Anthony Vaccarello, et en partenariat avec l’Institut national de l’audiovisuel et le Centre national de la musique. Pas mal !
Ouverture des réservations le 2 avril : il faudra être rapide pour réserver ces événements particulièrement attendus qui se tiendront au Gainsbarre, le bar hyper feutré de la Maison Gainsbourg. À noter dans vos tablettes : des projections les lundis 14, 21 et 28 avril d’Anna de Pierre Koralnik (1967), dont l’artiste a composé la bande originale devenue culte (Sous le soleil exactement, ça vous parle ?) et À bout portant (1973), un documentaire de Roger Sciandra tourné dans l’hôtel particulier auprès de Serge, Jane et les enfants. À noter : chaque projection sera introduite par des intervenants cousus main dont Pierre Koralnik himself ! Une belle manière de découvrir la contribution de l’artiste au cinéma en tant qu’acteur, réalisateur et compositeur.
Gainsbarre, 14 rue de Verneuil, Paris 7e. Réservations en ligne dès le mercredi 2 avril.
© Tony Frank
Boire un cocktail nostalgie au Syndicat
© Maeva Mitram et Pierre Dimech
Pour célébrer ses dix ans, Le Syndicat, bar culte du 10e connu pour ses créations ultra-contemporaines, revisite sa carte de cocktails : un changement radical qui nous embarque tout droit dans les années 2000. Désireux de renouer avec ces souvenirs de chewing-gum, granita, bonbons acides, yaourts à boire et boisson tropicale, les très talentueux mixologues du Syndicat se sont penchés sur la question de l'arôme. Un grand projet qui mêle alors deux objectifs audacieux : réconcilier le grand public avec les spiritueux, les vrais de niche, et parvenir à les incorporer dans cette palette nostalgique de saveurs d’enfance autour de potions toutes proposées à 15 €. Une madeleine de Proust ? Non, un Mister Freeze à l’armagnac !
Le directeur, Romain Le Mouëllic, ne s’est pas limité au ravalement de façade avec des affiches Y2K : la carte aussi s’est refait une jeunesse (littéralement). Désignée par la graphiste Espérance Baux, celle-ci prend des airs de pochettes CD et habille chaque cocktail d’un design illustratif, comme une vision parlante de son goût et de ses inspirations.
Dans les verres, ça donne quoi ? On fond complètement pour le Double Frozen, un granita au spiritueux calqué sur le Malabar bi-goût avec un côté fraise (Lillet Rosé, blend de rhums Savanna, fraise en trois façons) et un côté banane (Armagnac Janneau, Cap Mattei Blanc, Mélilot, banane) ; le Yog Deluxe inspiré des Actimel et servi dans des bouteilles en verre (Gin Generous au yaourt, Sake Nigori, myrtilles, citron, blanc d’œuf vegan), le Tropicool qui reprend le fameux goût de l’Oasis, (Armagnac Janneau, Cordial Tropical, distillat de pomelo Cointreau, poire Belle de Brillet) et le Ultimate Sour Mix qui nous rappelle les bonbons piquants dont on raffolait (Calvados Boulard, blanche d’armagnac, groseilles, pomme verte, kiwi, Antik Fire rhum, citron vert), disponibles aussi en version Mocktails. Vous l’avez, la nostalgie ?
Le Syndicat, 51 rue du Faubourg Saint-Denis, Paris 10e. Ouvert tous les jours de 18h30 à 2h.
Craquer pour des trésors à la boutique Deeya
©Guillaume Garat
En plein Marais, cette boutique multimarque de vêtements et accessoires indiens, naît d’une volonté de célébrer la tradition indienne à Paris à travers la mode et le design, mettre en avant une Inde moderne à travers des créateurs émergents, et faire briller le savoir-faire local (broderies mains, tamponnage sur textile…). Deeya, c’est l’alliance entre Marielou Philips experte du luxe, ex-PR chez Chanel passionnée d’artisanat et originaire de Bombay, et Matthieu Foss, membre des fondateurs de Paris photo, qui fut le premier à ouvrir une galerie photo privée à Mumbai et l'organisateur du Focus Photography Festival de Mumbai.
La boutique, hyper visuelle, se pare de tons blancs et nude pour laisser les vêtements s’exprimer. Les portants Art déco et les meubles en zelliges colorés donnent un aspect luxe et rétro à l’ensemble. Sur ce fond neutre, les couleurs et les motifs des pièces ressortent de plus belle ! On adore les chemises brodées en lin (205 €) ou en soie (420 €), les colliers ras du cou XXL (400 €) ou les boucles d’oreilles à Airpods (200 €), les pantalons imprimés en velours et les jupes à cordes (440 €). Top : derrière la boutique se cache une galerie, lieu d’exposition multidisciplinaire qui se veut tisser des liens entre la France et l’Inde, en présentant expositions de photographies, arts graphiques ou design.
Deeya, 21 rue du Bourg Tibourg, Paris 4e. Ouvert tous les jours du lundi au samedi de 11 à 19h, et le dimanche de 12h à 19h.
S’en prendre plein la vue à La Villette
©playmodesstudio ©Collectif Scale ©Children of the light
Et la lumière fût… 3 000 m² et 15 installations lumineuses complètement interactives et didactiques transforment la Grande Halle en un parcours d’œuvres hors-norme où l’illumination devient matière vivante. L’art contemporain s’acoquine à l’art numérique pour un résultat qui brille de mille feux !
La lumière est à l’origine de tout. D’abord observée, puis comprise, jusqu’à être maîtrisée, elle est dans cette exposition rendu art et spectacle. Comment ? Par une génération
d’artistes issus de l’art contemporain, des arts numériques et de la musique. Ainsi, on exploite les dimensions technologiques, sensorielles et visuelles de cette ressource, qui a fondé toutes nos sociétés et qui continue aujourd’hui de façonner le monde. L’expo, véritable parcours immersif en 5 étapes, est conçue comme un voyage trippant dans un monde lumineux et universel. Au rendez vous, des artistes et exposants comme Guillaume Marin, Visuel System, WHITEvoid et Collectif Scale, pour des sculptures et installations impressionnantes. À absolument noter dans son agenda du mois, que ce soit pour les fans d'art comme pour ceux qui souhaitent alimenter leurs stories à la une sur Insta.
Into The Light, du 9 avril 2025 au 31 août 2025. La Grande Halle de La Villette, 211 avenue Jean Jaurès, Paris 19e. À partir de 19,90€. Du lundi au dimanche de 10h à 18h et les samedis jusqu'à 19h.
Composer son bouquet de fleurs fraîches
Vous rêvez de fleurir votre salon d’anémones, tulipes, narcisses, renoncules, iris ou bleuets ? Ça tombe bien, c’est le printemps, et donc l’occasion parfaite de venir composer son bouquet de fleurs de saison chez Sophie, à la ferme florale de Montreuil. Sur une ancienne terre horticole des Murs à Pêches, la reine du mouvement “Slow Flower” Sophie dirige un plantation de fleurs de 7 000 m², pour permettre d’avoir des fleurs à disposition, et éviter de les importer de l’autre bout du monde.
1h30 d’initiation avec Sophie et l’équipe de la ferme florale, ce n’est pas seulement apprendre à composer un bouquet : on visite la ferme, on découvre les fleurs de saison et les valeurs Slow Flower, et on repart avec un bouquet de fleurs fraîches qui égayera votre intérieur. L’atelier pouvant accueillir 4 à 12 participants, il est possible de réserver votre atelier entre copines, en amoureux ou en famille, pour une expérience 100 % feel good.
S’envoyer le ‘dwich le plus cool du moment chez Yujin !
On vous a déjà parlé de Yujin, la cantine japonaise la plus trendy de Paris : on y retourne ! Petit rappel : direction le Passage des Panoramas, pour découvrir ce hot spot qui mixe cuisine nippone, street food et hip hop. Jamais à court d’idées, les trois potes de toujours qui font l’âme du lieu, le chef et DJ Pierre Sene, Bryan Birget et Alexandre Basse, se sont associés le temps d’une collab’ avec Hirmane, le créateur de The Dwichtorialist pour éditer une dinguerie de sandwich mariant saveurs tunisiennes et touches japonaises. On l’a testé, on a adoré !
Voyez ça : un moelleux bun de pomme de terre qui capture un tartare de thon mariné accompagné de tamago, de gingembre et de mayo ‘’samouraï’’, relevé d’une touche d’épices tunisiennes, d’un spray d’huile d’olive extra vierge et de feuilles de roquette croquante. À la première bouchée dans cette ‘’Fricassée Japonaise’’, vous allez comprendre votre bonheur ! Avec, de mignons petits légumes en tempura qui accompagnent divinement ce sandwich fusion (14 €). Pour la soif, optez pour une petite bière japonaise ou un des délicieux cocktails de la maison. Le truc en plus : au-delà de l’assiette, Yujin et Hirmane ont imaginé pour l’occaz un logo unissant influences hip-hop et manga. Et voilà un so cute Maneki-neko, chat porte-bonheur, floqué sur un t-shirt blanc trop stylé à attraper sur place pour immortaliser ce moment de grand kif (30 €). Le truc en moins : dépêchez-vous, fin mars, il n’y en aura plus…
Yujin, 53 Passage des Panoramas, Paris 2e. Ouvert du lundi au vendredi de 12h à 14h30 et du mercredi au samedi de 19h à minuit.
Admirer l’expo made-in Pharrell Williams chez Perrotin
Le King Pharrell Williams, véritable touche-à-tout capable de transformer en or chacun de ses projets (ses collections pour Vuitton se vendent comme des petits pains), est le curateur de l’exposition Femmes, qui se tiendra à la galerie Perrotin du 20 mars au 19 avril 2025. À travers les œuvres d’une quarantaine d’artistes, dont Gaëlle Choisne et Zanele Muholi, le génie du beau met en lumière les figures féminines qui l’inspirent depuis toujours. Girlpower ! Mieux : l’héritage racisé de Pharrell influence aussi son choix d'artistes pour ses collaborations, exposant les œuvres de près de quarante artistes, ayant toutes des racines africaines.
Cette exposition s’inscrit dans la continuité de la collaboration entre Pharrell Williams et Emmanuel Perrotin. Autant vous dire que si vous ne connaissiez l'homme que pour ses tubes (Happy, Get Lucky…), Pharrell a plus d’une corde à son arc. L’infatigable et intarissable créateur, capable de produire des hits mondiaux tout en assumant le rôle de co-président du Met Gala 2025 (si, si…), a déjà assuré le commissariat de plusieurs expositions chez Perrotin, notamment Girl en 2014. On adore !
Femmes, à la Galerie Perrotin, 76 rue de Turenne, Paris 3e. Du 20 mars au 19 avril. Entrée gratuite.
S’offrir un déjeuner étoilé à moins de 50 €
Alerte bon plan pour les paniers percés qui rêvent de s’offrir une expérience gastronomique. Le chef Thibaut Spiwack, ex-Top Chef et surtout big boss de son restaurant étoilé durable Anona* du côté des Batignolles, vient de lancer son Menu Petit Étoilé à 49 €. L’idée ? Un déjeuner sophistiqué comprenant amuse-bouches, entrée, plat, dessert et mignardises, à savourer dans un cadre résolument raffiné. Avec, en prime, la satisfaction de profiter d’une cuisine green privilégiant les circuits courts et l’antigaspi : Anona est d’ailleurs gratifié d’une étoile verte qui prouve son engagement au quotidien.
Si le menu change chaque jour, nous avons pu déguster le jour de notre venue un canard des Landes au kumquat et sauce mikado, un délicieux chou-fleur tempura épicé au triple jus et au kimchi et avons fini avec une poire comice au citron, bergamote et gin français ultra-gourmande. Rendre la cuisine étoilée accessible, c’était le projet du chef : un défi relevé avec virtuosité.
ANONA, 80 boulevard des Batignolles, Paris 17e. Ouvert du mardi au vendredi de 12h à 14h15 et de 19h30 à 21h45. 01 84 79 01 15.
Se faire l’expo la plus chic du Marais
Au cœur du quartier de l’Hôtel de Ville se niche la Fondation Azzedine Alaïa et ses 32 000 pièces de collection de vêtements griffés signés Poiret, Chanel, Balenciaga, Yamamoto, Jean Paul Gaultier, Margiela, Courrèges ou encore Cardin. La salle sous la sublime verrière est dédiée aux incroyables expositions qui étudient les liens entre Alaïa et ses plus grands amis artistes.
Juste après avoir bouclé son expo croisée sur les artistes Alaïa et Kuramata, la Fondation inaugure ce 3 mars Azzedine Alaïa - Thierry Mugler 1980/1990. Deux décennies de connivences artistiques. Tout deux créateurs de mode centraux des 80’s et 90’s, immenses amis et admirateurs de la figure de la femme, Alaïa et Mugler se sont toujours dits “très inspirés l’un par l’autre”. Leur amitié et leur soutien artistique mutuel indéfectible nous ont offert leurs incroyables collections, dont les 70 robes qui constituent l’expo. À admirer pendant des heures : les silhouettes à la taille de guêpe et aux épaules majestueuses si caractéristiques des travaux d’Alaïa et Mugler. Et pour continuer sur cette lancée mode, on fonce également admirer celles du Louvre, du Grand Palais et du Musée du Quai Branly !
Azzedine Alaïa -Thierry Mugler 1980/1990. Deux décennies de connivences artistiques, Fondation Azzedine Alaïa, 18 rue de la Verrerie, Paris 4e. Ouvert tous les jours de 11h à 20h. Entrée à 10 €.
Croquer dans les meilleurs dürüms de Paris
Quand on nous a annoncé qu’une nouvelle adresse de dürüms avait ouvert à Paris, notre sang n’a fait qu’un tour. Ni une ni deux, direction le Sentier pour attraper une place chez Leven, cantine de poche lancée par le franco-kurde Victor Yasar. Il y a de la bonne ambiance dans l'air ! Dans un tout petit décor pensé pour rappeler les marchés couverts moyen-orientaux, on admire de près les cuissons à la braise et, en cuisine, la cheffe Or Bitan (ex-Dalia) qui opère une véritable chorégraphie avec la pâte de son pain à dürüms. Car se sont bien ces stars de la street food levantine qui s’arrachent au déjeuner, remplacés le soir par de jolies assiettes à partager dans une ambiance plus tamisée avec musique et bougies…
Miam : les dürüms agneau, maquereau grillé, veggie aux champignons, kefta ou poulet sont garnis de bons légumes frais et de sauces divinement relevées. On commande aussi le chirchi, une crème de butternut au cumin et à l’ail (5 €) et l’incroyable chou pointu grillé avec tahini, mélasse de dattes, piment léger et graines de courge, dont on ne s’est pas encore vraiment remis (7 €). Cool : même les desserts envoient du bois avec un carrot cake moelleux à souhait posé entre un sirop et une bonne dose de crème fraîche (7 €) ou un flan malabi tout léger à la fleur d’oranger (7 €).
Leven, 110 rue Montmartre, Paris 2e. Ouvert du mardi au samedi midi et soir, les dimanches et lundis au déjeuner.
© Léo Kharfan
S’accorder une parenthèse au spa
Envie de recharger ses batteries sans quitter la capitale ? Direction Le Petit Beaumarchais Hôtel et Spa, repaire cosy du 11e où vous allez pouvoir chasser votre stress. Ici, c’est simple : pas de foule, pas de bruit, juste un spa privatisé rien que pour vous (et si l’envie vous prend, pourquoi ne pas inviter votre Jules à se joindre à vous ?). La promesse : un lieu zen, un superbe bassin, des voûtes en pierre qui vous transportent ailleurs, et 50 minutes pour vous offrir une pause parfaite pour zapper tous les tracas du quotidien.
On déconnecte illico en s’immergeant dans le Flotarium pour relâcher toutes les tensions, suivi d’un sauna pour éliminer les toxines et laisser place à une relaxation profonde. En bonus, des boissons chaudes ou froides permettent de prolonger cette parenthèse cocooning.
Le Petit Beaumarchais Hotel & Spa, 8 boulevard Beaumarchais, Paris 11e. Ouvert tous les jours de 10h à 20h30 et privatisé pendant 50 minutes pour chaque séjour. Réservation en ligne à partir de 80 €.