© Le Dali et Potel & Chabot
Avec la nouvelle année débarquent en trombe les tonnes de bonnes résolutions que l’on arrivera plus ou moins à tenir sur la durée. La nôtre ? Se faire plaisir un peu tous les jours ! Pour démarrer 2025 du bon pied, on lance les réjouissances autour d'activités tantôt chics, tantôt cool, tantôt les deux : se faire une expo immersive à la Gaîté Lyrique, célébrer le Dry January dans des lieux d'exception, commencer sa détox dans la salle la plus luxe de Paris, contempler les sublimes créations de Martin Margiela avant une vente aux enchères prisée, s'offrir un tea time avec vue sur la Place Vendôme ou encore se régaler dans le resto de Jean Covillault sans casser la tirelire, mais aussi s’offrir du linge de maison K-3. Vous nous suivez ?
Zapper l'alcool dans des lieux chics en diable
Parce qu'il s'agirait de faire du Dry January un statement ferme et définitif pour faire du bien à sa santé, on se lance en mettant toutes les chances de son côté grâce à des mocktails d'auteurs servis dans des lieux d'exception. Le rendez-vous est pris dans trois adresses de belle réputation et aux décors extraordinaires, où il est possible de déguster des potions démentes 100 % sans alcool pour assumer une soirée stylée et instagrammable tout en tenant ses bonnes résolutions.
Par exemple, le Doris Bar, au sous-sol du Sir Winston (5 rue de Presbourg, Paris 16e) propose une carte de cocktails à la touche de rhubarbe, de grenade ou de fleur de sureau dans une ambiance Orient Express. Le bar du Ritz (8 rue Cambon, Paris 1er) s’y met aussi grâce à son chef barman Romain de Courcy qui propose 4 cocktails en lien avec les éléments (crush sur le cocktail Feuille - Eau, à la saveur de menthe, patchouli, et aloe vera). Le Dali, (228 rue de Rivoli, Paris 1er), restaurant de l’iconique Meurice, se joint également à la partie et propose une offre de boissons sans éthanol développée par le sommelier Benoît d’Onofrio, qui s’est auto-baptisé le Sobrelier. On adore !
© Emanuela Cino pour Le Ritz / Le Dali au Meurice / Doris Bar
Se faire une expo futuriste à la Gaîté Lyrique
On dit souvent qu’expo rime avec intello, mais on atteint des sommets avec le nouveau projet ultra-pointu exposé à la Gaîté Lyrique ! PULSE, c'st un condensé de petites curiosités technologiques parfois immersives mais toujours ultra-captivantes, qui vont ébahir les petits comme les grands. À travers un parcours présentant des merveilles de technologie faisant parfois la taille d’une salle entière, la Gaîté Lyrique vous happe dans un univers quasi-futuriste.
Entre un cube de métal qui se met à marcher grâce à des impulsions électriques, une salle immersive où des LED à 120 images par seconde de résolution vous donnent l’impression de planer et un coin de jeu d’arcade où vous contrôlez des lasers avec une manette de jeu vidéo : les petits scientifiques en herbe comme les grands curieux seront comblés. Une expo à ne pas manquer !
PULSE, La Gaîté Lyrique, 3 bis rue Papin, Paris 3e. Jusqu’au 13 juillet 2025. Entrée à 15 €.
© Pulse
Sculpter son body dans la nouvelle salle qui buzze
Sur la très chic avenue Foch, Blackroc s’impose comme le nouveau temple du sport ultra-privé où les champions de boxe du monde entier viennent s’entraîner. Ici, rien n’a été laissé au hasard : des appareils high-tech signés Technogym, un ring, et surtout une équipe de choc composée d’anciens champions primés et de coachs au palmarès impressionnant. Que vous soyez débutant·e ou confirmé·e, l’approche sur-mesure garantit un entraînement adapté à vos objectifs. Côté disciplines, c’est le paradis des sports de combat : boxe anglaise, kick boxing, MMA, boxe thaï, self-défense, et même Krav Maga pour réveiller la Lara Croft qui sommeille en vous.
Les mordu·e·s de fitness ne sont pas en reste avec des séances de circuit training, crossfit, ou encore du renforcement musculaire en soulevant des poids ou en défiant les machines dernier cri pour se sculpter un corps de déesse. Pour une harmonie parfaite entre corps et esprit, les cours de yoga, Pilates et stretching sont là pour équilibrer vos chakras. Le petit luxe en plus ? Après l’effort, on file au deuxième sous-sol, où le bien-être prend le relais autour de massages divins, séances avec un ostéopathe (par l’ancien ostéopathe de l’équipe AS Monaco s’il vous plaît) pour réaligner sa posture ou encore drainage lymphatique. Les plus téméraires oseront le Polaar Plunge, un bain glacé nordique qui vivifie le corps et l'esprit en un éclair. Et pour celles et ceux qui préfèrent la chaleur, hammam, sauna et spa sont aussi au rendez-vous.
BLACKROC, 50 avenue Foch, Paris 16e, 01 40 60 00 23. Abonnement à 2 500 € l’année.
© BlackRoc
S'offrir un goûter avec vue sur la Place Vendôme
La prestigieuse maison Ginori 1735, ayant eu comme ancien directeur artistique signor Alessandro Michele, est une pointure dans l’art de la table avec un travail d’orfèvres sur des pièces en porcelaine. À l’occasion du premier Café éphémère Ginori, au sein de l’Hôtel d’Evreux, la maison italienne s’associe avec l’institution Potel & Chabot, véritable ambassadrice de l’art de vivre et de l’excellence culinaire depuis 1820. Là, un Tea-time et un Aperitivo sont au programme. L’expérience est rendue mémorable à travers un cadre unique, allant d’une décoration chicissime (sièges à motifs, vaisselle signature ultra-colorée) à une vue imprenable sur la Place Vendôme en passant par la possibilité d’acheter la collection de Ginori 1735 sur place.
On y déguste quoi ? Concernant l’offre du tea time, la mise en bouche débute avec des gressins au parmesan, une madeleine au pecorino moelleuse à souhait et un exquis panini à la truffe. Le palais échauffé, on poursuit les festivités avec un rafraîchissant semifreddo noisette mais aussi un délicieux cannolo, un maritozzo et une panna cotta à partager (praliné noisette / pistache ou gelée de poires). On clôture ce goûter d’anthologie par une revisite de la bûche de Noël façon tiramisu. On s’hydrate avec un cappuccino, une sélection de thés et infusions ou encore d’un savoureux café italien. Pour l’offre Aperitivo : un panini tartufo, puissant en bouche, nous met en haleine avant d'enchaîner sur un mets à partager (ou pas !) accompagné de la meilleure focaccia de votre vie saupoudrée d’épices, mortadelle, stracciatella et concassé de pistaches. On se laisse tenter par le crabe Positano qui propose fraîcheur et saveur à chaque cuillerée, l’étonnant mais pas moins excellent cappuccino de cèpes et café ainsi que les gnocchi pepperoni.
Pop-up Café Ginori, 19 place Vendôme, Paris 1er. Ouvert du 4 au 11 janvier 2025. Tea-time 85 €, de 15h à 16h30 et de 17h à 18h30. Aperitivo110 €, de 19h à 21h.
© Potel & Chabot © Naïm Stramandino
Admirer les créations de Martin Margiela
Martin Margiela, ça vous parle ? Créateur belge, autant icône qu’iconoclaste, a révolutionné l'industrie de la mode des 80’s en se plaçant aux antipodes de la starification des designers et des mannequins, jusqu’à évincer Kate Moss de ses défilés. Le tout avec une approche avant-gardiste et fortement inspirée de l’Asie. Réputée de nos jours pour les emblématiques modèles Tabi mais aussi des folles créations de Galliano, la Maison Margiela ruisselle de pièces d’archives oufissimes. On y a accès aujourd’hui grâce aux deux filles de Graziella Picozzi (monument de la mode italienne et soutien de la première heure de Martin Margiela) qui nous dévoilent, en collaboration avec la maison de ventes aux enchères Maurice Auction, plus de 270 créations dont des prototypes, datant de 1988 à 1994.
Les pièces exposées : on y retrouve des créations, provenant du cultissime défilé 1990 de Margiela dans un square parisien avec un ensemble de sacs paniers, à nouer à la taille (entre 4 000 et 6 000 €), un ensemble en coton blanc aux inspirations gréco-romaines (entre 2500 et 4000 €), un ensemble de jupe-rideau de la collection FW91 (entre 2500 et 3500) ou encore un pull-robe en laine tricotée, aux coutures exposées (entre 2000 et 4000 €), qui au fil des années, se sont imposées comme l’une des signatures de la maison. Tip top : il est possible de venir pour (juste) regarder ces trésors de la mode lors de l'exposition des pièces deux jours avant la vente aux enchères.
Martin Margiela 1988-1994, 81 boulevard Voltaire, Paris 11e. Exposition publique et gratuite le 25 et 26 janvier de 11h à 18h. Vente aux enchères ouverte au public le 27 janvier à 11h (lots 1 à 100) puis à 14h30 (à partir de 101).
© George Mavrikos
Se faire un festin pour 22 € avec Jean Covillault
“Qu’est ce qu’on mange ce soir ? - Des restes…!” Notre chouchou de Top Chef Jean Covillault revient sur la scène parisienne avec un concept pour le moins audacieux mais des plus honorables : un resto éphémère nommé Les Restes, en étroite collaboration avec l'association NOUS Anti-gaspi (28 épiceries solidaires) dans lequel il propose une cuisine à prix mini, réalisée à 80 % avec des produits destinés à être jetés. L’offre est simple : entrée, plat et dessert (2 propositions pour chaque) au prix imbattable de… 22 € ! Le tout dans un cadre rempli de good vibes pour un gueuleton à la bonne franquette.
On y mange quoi ? Place au réconfort avec un velouté de carottes aux épices et pignons de pain ou rillette à la truite, filet d’huile d’olives et herbes, pleine de fraîcheur. On continue avec un savoureux poulet aux champignons accompagné de pommes de terre sautées mais également un croque-monsieur veggie totalement addictif au potimarron, oignons caramélisés et camembert. Côté sucré, impossible de ne pas craquer pour le crumble aux pommes et poires et sa sauce au chocolat. À noter : en raison du facteur aléatoire des approvisionnements, ceci est une liste non exhaustive des plats proposés et correspond à ceux que nous avons pu goûter le soir de notre venue.
Les Restes par Jean Covillault, 16 rue Pastourelle, Paris 3e. Ouvert midi et soir, du mardi au samedi, jusqu’au 30 mars 2025.
© Les Restes
S’offrir des pièces iconiques de la marque de design K-3
Kenzō Takada, le styliste japonais et créateur de la marque éponyme Kenzo, investit l’Hôtel Lutetia pour un pop-up store absolument mémorable dans le cadre de sa marque d’art de vivre et de design K-3. Préparez-vous à une immersion totale : l’art, l’artisanat et la nature fusionnent dans une installation florale spectaculaire, avec des jeux de miroirs et un tourbillon de couleurs et de textures qui vous laisseront sans voix.
Côté shopping, on craque pour les pièces iconiques de K-3 : des parfums (195 € l'unité), des plaids (à partir de 720 €), des coussins (à partir de 140 €), sans oublier des accessoires raffinés comme une boîte de papeterie avec une encre spécialement créée pour K-3 (le bleu Shogun), des carnets, un marque-page et une plume en verre de Murano, en collaboration avec Clairefontaine (à partir de 182 €). Pour les fashionistas, K-3 dévoile aussi des lunettes solaires et de vue créées en partenariat avec MASUNAGA, un nom légendaire du Japon (755 €). Et pour parfumer votre intérieur, la collection Homescents avec spray (117 €), diffuseur (183 €) et bougie (128 €) viendra compléter cette expérience luxe.
Pop Up K-3 au Lutetia, 45 boulevard Raspail, Paris 6e, jusqu’au 25 janvier 2025. Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 19h.
© Instagram - @grandiexplorer
Déjeuner pour 25 € à l’Hôtel Particulier Montmartre
Parce que c’est le mois idéal pour s’envoyer une dose maximale de féerie, cette adresse chérie blottie au calme de la rue Junot, dans les hauteurs de Montmartre, est l’une de nos meilleures recommandations ! On vous (re)plante le décor : une salle feutrée où crépite un feu de cheminée, un jardin enchanteur, un bar exotique-chic et 5 suites romantico-sexy déployées dans les étages de cette élégante bâtisse, ex-demeure de la famille Hermès. En bref, une planque de rêve !
La good news ? L’hôtel Particulier Montmartre lance à sa table, pour la saison hivernale, un semainier à l’heure du déjeuner. Soit un noble repas proposé du lundi au vendredi pour seulement… 25 € ! La formule comprend un prélude végétal avec une salade de mâche agrémentée de cerneaux de noix, d’échalotes et arrosée d’une vinaigrette parfaite et un plat rempli d’amour et d’ingrédients de saison qui change chaque jour : Tourte de volaille et épinards à la crème / Riz venere au parmesan / Linguines aux coques / Paleron de bœuf braisé et grenaille en persillade / Cochon confit au romarin et épeautre au comté. L’occasion de goûter à cette cuisine de haute volée qui a été récemment distinguée par les titres de Maître Restaurateur et Restaurant de Qualité. Couplé d’un service irréprochable, ici le bon moment est assuré. Craquage : on fond pour Marie, la petite poule de la maison trop mims’ qui vagabonde dans le jardin et ne manquera pas de venir vous voir si vous avez une petite madeleine ou de la chantilly pour elle !
Hôtel Particulier Montmartre, 23 avenue Junot, Pavillon D, Paris 18e. 01 53 41 81 40. Semainier du lundi au vendredi de 12h à 15h toute la saison automne/hiver.
© Hôtel Particulier Montmartre
Voyager en Chine en un bip de Navigo
La nouvelle expo du Musée Guimet est un vrai petit voyage dans le temps : rassemblant 207 ensembles d’œuvres prêtées par plus d’une trentaine d’institutions muséales chinoises, elle retrace 300 ans de rayonnement culturel et artistique de la dynastie chinoise des Tang, plus d’un millénaire après sa fin. Parmi les trésors incroyables (présentés pour la première fois en France !) figurent trois chefs-d'œuvre d’orfèvrerie Tang, des pièces inédites car issues de récentes découvertes archéologiques et de rares rouleaux de peintures et de calligraphies ultra-minutieuses. Coup de cœur : la salle qui projette sur le sol et le plafond des images d’une rivière de Chine et les bruits qui l’entourent !
Grâce à une scénographie immersive, vous pourrez parcourir Chang’an (littéralement “longue paix”), capitale emblématique et joyau des merveilles de la dynastie Tang. Vous pourrez déambuler dans des salles au plafond couvert de belles lanternes rouges, et passer sous des arcs traditionnels chinois d’une pièce à l’autre. Un vrai dépaysement !
La Chine des Tang, au Musée Guimet, 6 place d'Iéna, Paris 16e. Jusqu’au 3 mars 2025. Entrée à 13 €.
© Didier Plowy © Vincent Leroux
Booker une table chez Nicolas Flamel
Si, pour les Potterheads, le nom Nicolas Flamel évoque l’inventeur de la pierre philosophale, il s’agit également d’un restaurant plus qu’iconique à Paris. Nichée entre le Marais et Beaubourg dans “la plus vieille maison de Paris” construite par l’alchimiste himself en 1407, L’Auberge Nicolas Flamel a été récupérée en 2007 par notre chef chouchou Alan Geaam qui y a mis toutes ses économies… 600 ans plus tard, tout pile ! Avec son nouveau chef Emile de France, le voilà qui redonne une nouvelle impulsion à cette adresse mythique, invitant les Parisien·ne·s à se la réapproprier. L’option à la fois complète et raisonnable ? Le Menu Découverte en trois temps (78 €).
On commence avec un verre d’hydromel (vous avez la réf’ ?) pour préparer à la dégustation, servi avec les amuse-bouche (gougère fromage, radis, foie gras). Drôle : le beurre est doré et en forme de pierre philosophale ! Arrive ensuite la divine soupe à l’oignon revisitée avec un condiment à l’ail noir, le tourteau caviar, les champignons sauvages lovés dans un biscuit Plougastel travaillé à l’Ossau Iraty, avant un coquet homard cuit au barbecue et sa déclinaison d’artichauts. Pour terminer en beauté : un blanc manger figue, feuille de shiso et sorbet. Verdict ? L’impression de savourer la cuisine d’aujourd’hui dans un écrin que l’on croirait décrit dans un grimoire ancien. Un must à tester absolument.
Auberge Nicolas Flamel, 51 rue de Montmorency, Paris 3e. Ouvert du mardi au samedi de 12h à 13h30 puis de 19h30 à 21h30. Réservation en ligne.
© Auberge Nicolas Flamel x The Travel Buds
Tripper sur les œuvres de Pollock au musée Picasso
L’exposition Jackson Pollock : Les premières années (1934-1947) explore les débuts de la carrière du peintre américain. Sa période de production artistique est largement marquée par l’influence du régionalisme américain et des muralistes mexicains, jusqu'à ses premières expérimentations en dripping, aka en projection de peinture sur toile. Ce parcours au musée Picasso, rarement présenté sous cet angle, met en lumière les multiples influences qui alimentent l’art à la Pollock, mêlant les arts natifs américains aux avant-gardes européennes, avec une influence notable de Pablo Picasso.
L’exposition propose un itinéraire en plusieurs étapes marquantes de ce cheminement artistique et intellectuel, intégrant des figures clés de son entourage comme Charles Pollock, William Baziotes, Lee Krasner, André Masson, Pablo Picasso ou Janet Sobel. Le musée Picasso cherche ainsi à souligner la singularité de son œuvre à travers différentes formes d’expression que l’artiste (super polyvalent) utilise : la peinture, la matière, la gravure et la sculpture. Au total, une centaine d’œuvres, issues d’institutions internationales célébrissimes telles que le Museum of Modern Art de New York, le Metropolitan Museum of Art, le Centre Pompidou, la Tate ou le Stedelijk Museum, sont rassemblées pour retracer cette phase formatrice de son parcours.
Jackson Pollock : Les premières années (1934-1947). Musée Picasso, 5 rue de Thorigny, Paris 3e. Du 15 octobre 2024 au 19 janvier 2025.
© Voyez-Vous Vinciane Lebrun - Musée national Picasso-Paris Voyez-Vous, Chloé Vollmer-Lo
Admirer les clichés cultes de Peter Lindbergh à la Galerie Dior
On vous donne rendez-vous dans le 8e arrondissement de Paris, à la galerie Dior située à deux pas de la toute première boutique Christian Dior pour y découvrir l’incroyable exposition du renommé Peter Lindbergh. Illustre photographe de mode, Lindbergh a transcendé les époques par ses photographies cultissimes publiées dans le Harper’s Bazaar, Vogue, Vanity Fair ou encore Elle mais aussi par son esprit avant-gardiste voulant mettre en valeur le naturel sans fard, à travers son noir et blanc signature. “La responsabilité des photographes doit être de libérer les femmes de la hantise de l’âge et de la perfection”, dira-t-il. Dans cette exposition unique, on ne sait plus où donner de la tête entre les divines créations des différents directeurs artistiques : de Christian Dior à Maria Grazia Chiuri en passant par John Galliano, les robes extraordinaires répondent à plus d’une centaine de clichés immortalisés entre 1988 et 2018 pour la maison de couture.
Devant son objectif, les plus grands mannequins et supermodels, de Mariacarla Boscono à Naomi Campbell en passant par Debra Shaw, Shalom Harlow, Cindy Crawford et bien sûr Linda Evangelista. On y découvre des clichés exclusifs capturant Kiki Williams à New York avec des tons saturés, des portraits de rue absolument hypnotisants d’Amber Valletta et de la mannequin Irina Shayk. Sur les clichés de Caroline Murphy ou encore de Shalom Harlow, on perçoit son attrait pour les décors assez sobres mais scénographiés à la perfection afin d’ajouter une profondeur et une puissance à ces derniers.
Peter Lindbergh, Galerie Dior, 11 rue François-1er, Paris 8e. Exposition jusqu’au 4 mai 2025. Ouvert du mercredi au lundi de 11h à 19h.
© Peter Lindbergh Foundation, Paris / Adrien Dirand
Siroter un divin Pumpkin Spice Latte
Besoin de réconfort cet automne ? On file chez Lactem, le spot douillet de Leslie et Hoëlle, et on se laisse tenter par leur régressif Pumpkin Spice Latte (7 €), la boisson star de la saison ! Rien de tel que de s’emmitoufler dans un pull en laine et de savourer LA comfort drink par excellence. Ce latte automnal combine une belle cuillère de purée de Pumpkin, un expresso savoureux et rehaussé d’une touche sucrée, se pare de vanille et d’une généreuse couche de crème fouettée. Mmmmh…
Il faut dire que Lactem s’avère l’antre rêvé des coffee lovers. Ici, on ne plaisante pas avec la qualité : chaque tasse est élaborée avec des cafés de spécialité torréfiés avec amour à Paris, de quoi ravir les puristes. Et les becs sucrés ne seront pas en reste avec les pâtisseries maison, totalement irrésistibles. Ambiance friendly au possible, que ce soit pour une pause gourmande ou un après-midi studieux : chez Lactem, on se laisse envoûter par les arômes envoûtants du café fraîchement préparé.
LACTEM PALAIS ROYAL, 38 rue Croix des Petits Champs, Paris 1er, du lundi au vendredi de 9h à 17h30, le samedi de 10h30 à 18h et le dimanche de 11h à 16h30. LACTEM MONTMARTRE, 58 Rue du Faubourg Montmartre, Paris 9e, du lundi au vendredi de 8h à 11h et de 11h45 à 17h, , le samedi de 9h à 18h, et de 10h à 18h.
© Instagram - @lactemcafe
Voyager à Bali… sans quitter Paris
Le froid pointe le bout de son nez, et avec lui, l’envie de s’envelopper dans une bulle de douceur. Pas besoin de passeport : direction le Spa Mamabali pour un pur moment d’évasion en plein cœur de Paris, qui vous transporte direct en Indonésie. Imaginez : deux heures de soins (oui, deux heures !) où l’on vous dorlote et vous enveloppe de bien-être. Ce lieu épuré et coloré est pensé pour vous dépayser en un clin d’œil, avec des praticiens ultra-pointus qui maîtrisent l’art du massage balinais depuis plus de 11 ans. Formés par des experts indonésiens, ils utilisent une huile sacrée venue tout droit des temples, pour des soins authentiques et ressourçants.
Au programme ? Un rituel complet vous attend : hammam, gommage et massage balinais, à savourer en solo, en amoureux ou entre copines. Chaque soin est conçu sur-mesure pour maximiser les bienfaits et offrir un lâcher-prise total. Et comme les fêtes approchent, c’est aussi l’idée cadeau parfaite pour offrir (ou s’offrir) un moment hors du temps.
Spa Mamabali, 2 rue Brunel Paris 17e, 01 58 57 75 75, du mardi au dimanche de 11h à 20h, réservation en ligne.
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