Le Zebra Square est mort. Vive Daroco. La pizzeria la plus mode de Paris ouvre enfin le restaurant italien festif et branché que le 16e méritait. Débrief.
Previously...
Daroco, c’est l'histoire d’une success-story écrite par Alexandre Giesbert et Julien Ross. Installé dans le décor époustouflant des anciens ateliers de couture de Jean Paul Gaultier rue Vivienne, le duo de choc signe le premier rendez-vous furieusement mode où la bonne bouffe italienne se déguste en bande dans un décor canon et festif. Le Tout-Paris est au rendez-vous. Bref : la recette d’une réussite lancée juste avant le phénomène Big Mamma… Autant dire que le clan Daroco a du pif.
L’adresse que le 16e attendait
Situé face à Radio France, le second resto, ouvert non stop, dimanche soir compris, affole déjà la clientèle du quartier. Il faut dire que de ce côté du 16e, c’était le grand désert. Et voilà que Daroco 16 change carrément la donne avec cette adresse XXL qui envoie du bon son, une atmosphère festive et une terrasse canon sans oublier la possibilité de faire de grandes tablées en smala à prix “copains”… Du coolness en perspective.
Une déco de ouf
Miroirs au plafond, fresque de street art taguée par l’artiste Supakitch… La D.A. confiée à l’architecte Olivier Delannoy a tout bon. Sans oublier le bar à cocktails en marbre et le décor super léché qui marie laiton, acier et granit.
Les bons ingrédients de l'aperitivo
White Spritz, Prosecco… Ça sonne bien. Le bar à cocktails et la terrasse sont la promesse d’un apéro très dolce vita comme on les aime. Surtout si on peut les accompagner d’antipasti fort sympathiques et sourcés là où il faut : arancini (6 €), beignets de mozza sauce piquante (8 €), focaccia (7 €) ou assiette de salami (11 €).
La recette du succès…
Côté pizza, on prend les mêmes et on recommence en mode “tutto bene” : pâte de ouf version napolitaine, four de compét’ et produits canon qui subliment les grands classiques comme la splendide Margarita à la fior di latte (11 €), la Fiamma à la sauce tomate, saucisse ‘nduja, oignon rouge confit, stracciatella et basilic (14 €).
Avec ses fourneaux déments, le chef va un peu plus loin dans sa cuisine et a étoffé sa carte d’une splendide escalope milanaise (29 €) ou d’un risotto au safran et moelle comme à Milan (21 €) et de bonnes pasta : rigatoni all’Arrabbiata (13 €) et pappardelle au ragoût de bœuf (17 €).
Sans oublier les desserts qui jouent la régression à fond les ballons : tiramisu (8 €), nougat glacé framboise-pistache (9 €) et des gelati qui envoient : mûre, yaourt, café, pêche…
Ouvert tous les jours, de 7h30 à 1h.
Découvrez Daroco rue Vivienne mais également les 10 meilleurs restos de pâtes de Paris.