Moustache : la boutique déco qui sort vraiment du lot sur le Canal

Ambiance intérieur de la Boutique de Décoration Moustache lancé  par Stéphane Arriubergé et Massimiliano Iorio avec la lampe Chantilly,  la chaise Bold, le vase Plan, le vase Heirloom 1

C’est le nouveau terrain de jeu des fans de déco cool et pointue. Connue pour son sens du style et sa palette pop, la maison d’édition française de mobilier contemporain Moustache, vient d’ouvrir son tout premier flagship parisien à mi-chemin entre République et le Canal Saint-Martin. Une petite bombe dans le milieu ronronnant du design. Explications.

Une bonne dose de fun

Moustache, c’est le petit trublion du design. Depuis 10 ans, l’éditeur français lancé par Stéphane Arriubergé et Massimiliano Iorio insuffle humour et légèreté dans le secteur de la déco par le biais de créations ludiques et décalées dessinées par des designers internationaux de renom et produites de manière responsable en Europe.

Sans le savoir, vous en connaissez forcément déjà certaines, comme la lampe TGV signée Ionna Vautrin pour la SNCF (295 €) ou la chaise Bold qui fait un tabac avec sa housse textile amovible déclinées dans de nombreux coloris et sa structure tubulaire sortie tout droit d’un film d’animation (420 €) ou le vase Plan de Sébastien Cordoleani, un soliflore posé sur un plateau trompe l’œil (43 €).

Autres best-sellers, la lampe Chantilly de la très convoitée Charlotte Guisset, comme un topping de crème en origami (95 €) et le vase Heirloom 1 de Benjamin Graindorge, véritable OVNI en céramique (100 €). Toutes ces pièces et bien plus encore sont à découvrir dans la première adresse de la griffe, qui s’ouvre sur une grotte pour arriver jusqu’au podium baigné de lumière par la verrière.

Des curiosités à petits prix

Façade de la boutique de décoration Moustache

Jamais à court d’idées, l’équipe de Moustache a débusqué des petits objets et accessoires singuliers, peu ou pas distribués en France.

Exemples ? Des savons façon pochette surprise avec une sculpture en céramique à l’intérieur (35 €), les mini notebooks irrévérencieux du labels écossais Ark (15 €), le combo salière/poivrière “Héroïn et Cocaïn” de David Shrigley (60 €), sans oublier les stickers et papiers peints de Domestic, grand frère de Moustache qui a popularisé les stickers muraux dans les années 2000.

Retrouvez aussi Sergeant Paper, Datcha et la céramiste Marion Graux.

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