Véritable phénomène outre-Atlantique, notamment grâce à sa série culte Inside Amy Schumer, Amy Schumer, donc, reste (injustement) moins connue en France. Pourtant, le succès du pétillant Crazy Amy, lui a valu quelques fans fidèles, qui attendaient impatiemment de ses nouvelles.
Netflix répond à leur attente en proposant en exclusivité son nouveau film, Moi, belle et jolie.
Un romcom feel good au pitch fantaisiste
Visez plutôt : Renee Bennett, analyste en informatique chez Lily LeClaire, icône de la mode, est une trentenaire bien en chair mais mal dans sa peau. Son existence bascule quand, après un accident, elle est convaincue qu’elle est devenue une véritable bombe. De ce moment, la jeune femme, pleine de confiance en elle, change radicalement de vie.
Le tour de magie du film
Pour leur première réalisation, Marc Silverstein et Abby Kohn (scénaristes entre autres de Célibataire mode d’emploi et Collège attitude) ont eu une idée de génie : choisir la simplicité.
Pas de plans truqués pour figurer le changement radical survenu dans la vie de Renee. Juste une transformation vestimentaire et d’attitude de leur comédienne principale. Car leur effet spécial devant nos yeux tout le film : l’impeccable Amy Schumer, à la fois drôle et touchante, parvient en effet à passer de l’informaticienne complexée et ringarde à la femme sûre d’elle et sexy de façon incroyable.
Un casting de top model
Autour d’elle, outre une hilarante Michelle Williams, les spécialistes des catwalks pourront reconnaître trois générations de top models dans des petits rôles : la reine d’Instagram Emily Ratajkowski, la reine des podiums 90’s Naomi Campbell, et celle qui a pavé leur chemin à toutes, la très classe Lauren Hutton, qui incarne avec évidence rare une intemporelle icône de la mode.
Diffusé en exclusivité sur Netflix à partir du 20 juillet.
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