C’est l’événement qui fait tourner la tête des Parisiennes chics ! L'ouverture du Cheval Blanc Paris cette semaine s’affiche comme le rendez-vous le plus prisé et vibrant de cette rentrée.
Il est de bon ton d’être vu·e et voir dans la première Maison de Bernard Arnault à Paris, installé dans le bâtiment classé historique de l’ancienne Samaritaine, face au Pont-Neuf.
Maxime Frédéric, le nouveau chef pâtissier du Cheval Blanc Paris
© Elodie Rouge
Parmi les noms en tête d’affiche de ce palace urbain se distingue l’arrivée du chef pâtissier de l’excellence : Maxime Frederic (ex-George V)... Les foodies trépignaient d'impatience à l’idée de pouvoir tester les viennoiseries d’auteur et les créations du Normand.
C’est chose faite avec l’inauguration du Limbar, un rendez-vous très désirable ouvert du petit déjeuner jusqu’au cœur de la nuit où le chef pâtissier a imaginé un rendez-vous gourmand qui célèbre la cuisine boulangère ! Réservez ici
Limbar, le nouveau rendez-vous stylé des Parisiennes
Le concept ? Ici, la cuisine (de saison) est au service du pain et de toutes les créations boulangères... et pas l’inverse ! Pas étonnant que Maxime Frédéric, avec l'étroite collaboration du chef étoilé Arnaud Donckele, ait remis au goût du jour des spécialités oubliées dans une version haute couture.
Parmi ses plats à tester absolument lovés dans les canapés de cette cantine très, très chic : une version 2.0 du croissant au jambon (25 €), le meilleur vol-au-vent de votre vie (25 €) mais aussi une tarte fine à la tomate, thym-citron, crème aigrelette, sucrine maraîchère et tomates cerises (26 €) avant ses extraordinaires profiteroles ou les pêches rôties d’une immense légèreté servies avec une meringue… Réservez ici
C’est sans oublier les salades exquises pour les appétits de brindilles : la salade du jardin aux haricots verts, amandes fraîches et vinaigrette cerise (20 €) ou une assiette de boulghour et carottes embaumés de mandarine (17 €).
Un hot spot entre le coffee shop et le bar à cocktails
©Franck Hamel
L’esprit coffee shop s'infiltre dès 7h du matin au bar ! À commencer par un vrai petit déjeuner parisien (21 €) pour lequel sont servis des cafés de spécialités et des viennoiseries “à couper” posées sur le comptoir, à tremper dans un américain, un macchiato ou une noisette (9 €)... Réservez ici
L’expérience à tester absolument, c’est le vrai goûter parisien que Maxime voulait remettre au goût du jour avec les madeleines de Proust de notre enfance (flan parisien, gâteau basque, gâteau de Savoie…) mais aussi des bouchées salées servies avec des infusions minute et maison (à partir de 55 €).
Limbar, le Q.G. des amateurs de cocktails pointus
©Franck Hamel
Le soir, Limbar s’affiche comme le repaire stylé pour un cocktail d'auteur. Derrière le comptoir, le chef barman Florian Thireau change les codes dans une atmosphère décontractée avec des prix cool : comptez 22 € le cocktail servi avec des petites assiettes à grignoter ultra-raffinées.
Pas de carte. Pour les néophytes, la possibilité de commander “sur-mesure” selon son goût sans maîtriser le jargon. Les geeks de cocktails pointus apprécieront ses interprétations des grands classiques comme son travail très contemporain via une boite de 9 cocktails signature qui met en avant des mix and matchs : rose, aloe vera et baie de timur ou fleur d’oranger, citron, chartreuse (22 €). À noter : chaque cocktail possède un jumeau sans alcool, préparé avec la même dextérité et servi dans la même verrerie sophistiquée.
Le pain, superstar du Limbar !
©Franck Hamel
Le pain, premier amour du chef, s'affiche comme la superstar du Limbar. Rien d'étonnant à voir ses créations extraordinaires exposées derrière le bar, à dévorer sur place ou à venir chercher “à emporter” comme dans un vraie boulangerie : baguette signature, couronne de sarrasin, platine de maïs ou brioche Gâche.
Pour façonner cette boulangerie d’auteur, le chef est parti à la recherche des céréales françaises les plus pointues avec un sourcing exigeant, du Moulin Taron à la Minoterie Suire.
Réservez votre table avant tout le monde. Tous les jours, de 7h à 1h du matin.
© Franck Hamel et Alexandre Tabaste