Attention lieu mythique : ce bistrot chéri d’Alain Baschung et mille autres stars incognitos du quartier ne désemplit jamais.
Avis donc à tous les mordus de poissons, fruits de mer et autres crustacés, le paradis sur terre (où plutôt sur mer) de votre gosier a enfin ré-ouvert. Après sept longs mois de travaux, l’Ecaille de la Mascotte est de retour, la crevette toujours plus rose et la bourriche de murex à foison !
Certes, vous serez servis si votre envie du jour rime avec homard, moule, huître ou autre pièce phare de tout étal d’écailler qui se respecte (plateaux de fruits de mer, 19-109 €) – mais pas seulement !
Patron auvergnat oblige, une belle carte brasserie vous permettra aussi de vous rassasier de spécialités plus canines «faux-filet, sauce moutarde de vin et son aligot», 29 euros, «boudin noir de Christian Parrat».
Et pour se la jouer parigot à fond les ballons, on peut aussi venir simplement déguster son café serré au comptoir, les yeux rivés sur ce merveilleux vivier de homard !
On adôôôre : le bar à huîtres, voisin de pallier : on y dénichera les Fines de Claire de David Hervé (17,40 €/kg), la traditionnelle huître Gillardeau n°5 (19,20 €/kg) mais aussi le fameux beurre aux algues Bordier …
On adôôre : le stand extérieur de soupe de poisson maison façon street food, à déguster à emporter avec rouille et croûtons (4 €). A puiser directement à la louche dans la mini-marmite à l’extérieur du bar-à-huîtres !