Ouvrez vos écoutilles : voici le resto qui fait du bruit dans le nouveau quartier en vue ! La première cantine de La Jeune Rue vient d’ouvrir pour le plus grand plaisir des foodies et des toquées de bons produits. Voici donc la démonstration en « beau », en « bon » et en « prix justes » (c’est la philosophie muy sympathique de la maison) que cette Jeune Rue commence drôlement à nous plaire !
Kesako déjà La Jeune Rue ? Un collectif d’agite-popote installé dans le pâté de maison de la rue du Verbois. L’idée ? Des restos et des commerces food (boulangerie, petit italien, boucher d’enfer, bar à cocktails, le tout préparé avec des produits 100% frenchies) avec en meneur de troupe Cédric Naudon patron du Sergent Recruteur, épaulé par le talentueux Arnaud Duhem, agite popote génial et ancien directeur de la restauration du Shangri-la.
Mais parlons plus précisément de cette cantine coréenne chic, fun, délicieuse dénommée Ibaji (traduction : les plats que les mamans transmettent aux jeunes mariées).
Derrière les fourneaux ? Le chef Sukwon Yong orchestre une cuisine d’auteur et des assiettes ultra maîtrisées pour un menu déj à 19€ canon et un ticket max de 25€. Des délices cosmopolites mitonnés avec des produits bien de chez nous, on adhère !
A tester absolument : leur bibimpap, le steak-frites des Coréens. Un plat déjà culte servi dans un grand bol garni de riz aux céréales+ épaule de porc confite + crudités + d’un œuf, le tout nourrissant. À mélanger soi-même et à dévorer !
Très chouettes aussi : les burgers aux boulettes de porc et bœuf aux épices + fromage au Laguiole (14€). Ça s’arrose d’une carafe de thé Boricha (3€).
Addictif : leur glace au yaourt et thé vert comme on n’en avait pas encore goûtée (et Dieu sait qu’on en a testé) (5€).
On adôôre : un décor bluffant signé Paola Novane, avec une table d’hôte XXL, des murs en mosaïque, des lampes archi-colorées, des comptoirs en marbre…
Dément : la possibilité de débarquer à n’importe quel moment entre 11h et 23h avec un service non-stop 7 jours / 7.
