Fait d’arme / son ADN : ex Lanvin, Marc Jacobs et Michel Vivien, Diane Ducasse s’inspire franchement du vestiaire masculin brit’ des années 30 à la Peaky Blinders, à mi-chemin entre le dressing d’un Lord anglais et le spirit de la chaîne Chasse et Pêche - comme elle le décrit elle-même.
Sa pièce iconique : le costume croisé en laine ou velours côtelé.
Pourquoi les Parisiennes l’adorent. Sans chichis, les créations made in Paris de Diane Ducasse vont droit au but. Ses pièces wahou font sensation dans de sublimes matières pleines italiennes ou anglaises (laine, lin, coton). Ou l’art d’être féminine en étant couverte.
3 questions à Diane Ducasse…
Les 3 adjectifs qui définissent votre marque : intemporel j’espère, pour le reste c’est un enchaînement de contrastes : chic/décontracté, masculin/féminin, nonchalant/sophistiqué, Parisien mais qui parle à tout le monde…
La Parisienne qui vous inspire : Inès de la Fressange, avec laquelle je travaille en parallèle sur ses collaborations et ses licences. J’aime aussi le style d’Aymeline Valade, et je suis plus généralement inspirée par tout ce qui m’entoure. Ce n’est pas forcément une personne ou une attitude, mais un ensemble de choses, d’imprimés, de volumes, de couleurs qui s’assemblent, de superpositions…
Votre uniforme : mes pantalons avec des chemises et une robe manteau nouée par-dessus, avec des derbies et un petit sac à main en bandoulière, toujours le même.