Grey Goose lance sa vodka ultra-premium (et nous explique comment la déguster)

Sa recette ne contient que deux ingrédients : du blé tendre de Picardie et l’eau pure et fraîche des Alpes françaises. La vodka 100 % française Grey Goose présente Altius, une toute nouvelle vodka ultra-premium distribuée dans les clubs les plus prisés de Saint-Tropez, Ibiza, Mykonos et Paris évidemment. Sa particularité ? Son eau pure et fraîche, ajoutée au moment de l’assemblage pour reproduire les conditions extrêmes des sommets de montagne. Filtrée à une température de -24°C, à la limite de la congélation, Grey Goose Altius voit ainsi sa complexité et son goût accentués avec une subtile touche minérale et même des notes de pomme verte fraîche. Encore faut-il lui faire l’honneur d’une dégustation dans les règles de l’art. Aussi passionnant que passionné, le maître de chai François Thibault nous explique comment se l’approprier au mieux.

Le plus froid possible, sans être congelée, mais avec une belle fraîcheur pour en faire ressortir sa minéralité. On a longtemps pensé que la vodka ne devait pas avoir de goût, ce qui est l’antithèse de Grey Goose dont les ingrédients ont du goût. On la conserve donc à 4 degrés au réfrigérateur pour la déguster à température rafraîchie. 

Il n’y a jamais trop de glaçons ! Il est au barman ce que le feu est au chef : on ne peut pas mixer sans. La glace permet de rafraîchir le cocktail et lui apporter un peu de dilution pour une température de dégustation optimale, sans sentir la brûlure de l’alcool. La meilleure option reste le bloc de glace pure, sans impuretés, qui va être relativement gros et costaud pour garder le spiritueux pendant longtemps sans dilution excessive. Évidemment, si vous n’avez pas la machine pour, vous pouvez vous tourner vers des bacs de larges cubes à mettre dans votre congélateur. Je préconise donc de la servir de préférence dans un large verre de type verre à whisky pouvant contenir un “rocks”. 

Si la vodka Altius a été pensée pour être dégustée pure, on peut s’en servir pour réaliser des cocktails “classiques” comme un Dry Martini (que l’on appelle Altini chez nous !) avec très peu d’accompagnants, un trait de vermouth par exemple et un zeste d’agrume. Celui-ci fera office de “paillette” qui viendra illuminer le spiritueux sans le cacher. On évitera donc de lui ajouter la sucrosité des jus et sirops. 

À un moment où l’on est particulièrement réceptif à la finesse d’Altius pour la comprendre et l’apprécier. Plutôt que de la servir en fin de repas à nos papilles fatiguées, mieux vaut donc privilégier le moment de l’apéritif.

Si Altius n’est pas spécialement pensé pour l’univers du food pairing, l’aspect versatile de la vodka Grey Goose la rend compatible avec beaucoup de mets, si tant est que la qualité des produits soit au rendez-vous. Le blé tendre de Picardie lui donne un aspect gourmand, beurré et pâtissier qui fonctionne particulièrement avec du caviar, des huîtres, des saveurs iodées et minérales. J’ai pu goûter par exemple une belle association avec un poisson féra qui vient des lacs froids, dont le côté charnu répondait parfaitement avec la vodka. Pourquoi pas également miser sur des toasts de saumon, des tartares, sans oublier la petite touche d’aneth pour rafraîchir l’ensemble et un beurre salé de bonne facture. 

www.greygoose.com

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