©Annabelle Schachmes
Vous ne connaissez pas le borscht ? Vous devriez adorer ! Cette soupe incontournable de la gastronomie ashkénaze, qui doit sa belle couleur rouge à la betterave, se déguste en version chaude ou froide, avec ou sans viande. Dans son dernier livre intitulé Cuisine juive à New York, la journaliste culinaire Annabelle Schachmes nous livre les secrets de cette recette slave par excellence et résolument réconfortante.
Les ingrédients à shopper
- 5 betteraves de taille moyenne
- 1 oignon
- 450 g de paleron de bœuf
- 3 tomates
- 20 g de sucre en poudre
- 10 cl de vinaigre de cidre
- 4 grosses pommes de terre
- Sel et poivre
La recette
Épluchez les betteraves, les pommes de terre et l’oignon. Râpez les betteraves et hachez finement l’oignon. Coupez le bœuf et les pommes de terre en cubes d’environ 4 cm de côté. Rincez les tomates sous un filet d’eau. Retirez les pédoncules puis coupez-les en morceaux de taille moyenne.
Disposez les morceaux de bœuf et de tomates ainsi que les betteraves râpées et l’oignon finement haché dans une marmite. Ajoutez le sucre et le vinaigre. Salez et poivrez à votre convenance puis mouillez à hauteur et laissez cuire à feu moyen et presque à couvert (décalez juste un peu le couvercle de la marmite afin de laisser une petite ouverture) pendant 3 h. Environ 1 h avant la fin de la cuisson, ajoutez les morceaux de pommes de terre.
Conseil : Pour cette recette, il y a 2 écoles : ceux qui dégustent avec la viande comme une sorte de pot-au-feu à la betterave et ceux qui retirent la viande et l’utilisent dans une autre préparation, mais qui dégustent ce borscht chaud sans viande.
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