Elle débarque sur Canal, et elle va vous glacer le sang. Nom de code : NOX. Ce qui se cache derrière ce titre énigmatique ? Pour le découvrir, il faudra avoir le cœur bien accroché. Mini thriller en 6 épisodes à la réalisation nerveuse et au casting canon, Nox est digne de vos pires cauchemars. Le décor : Paris, mais version souterraine. L’intrigue se déroule en effet dans les tréfonds de la capitale, les labyrinthiques catacombes (elles s’étendent sur plus de 300 km sous nos pieds), théâtre d’activités…. macabres. Claustrophobes s’abstenir !
Le pitch
Au sein du groupe Crime Paris Nord, Julie Susini (Maïwenn) et son équipe traque une bande de braqueurs de banques qui utilisent les égouts pour se faire la malle. Mais alors qu’elle est sur le point de les interpeller, elle disparaît soudainement, comme happée par les entrailles de la ville. Va-t-elle remonter à la surface ? Son coéquipier Raphaël (Malik Zidi, vu dans Place Vendôme) aidé de Catherine, la mère de Julie (Nathalie Baye), se lance dans une course terrifiante aux allures de jeu de piste infernal. Car, tapi dans les abysses, se cache un monstre à visage humain.
Pourquoi vous allez frémir ?
Cosigné par Fred Cavayé (A Bout Portant, Radin) et Quoc Dang Tran (Kaboul Kitchen), réalisé par Mabrouk El Mechri (JCVD, Maison Close), Nox réunit tous les ingrédients d’un polar ultra addictif. Mystères, atmosphère étouffante, cadavres, dark web et cliffhangers qui font froid dans le dos… jusqu’à la dernière minute, on retient son souffle. Sans filtre, revêche et cassante, la grande Nathalie Baye impose son charisme en flic à la retraite aux méthodes radicales, prête à tout (oui, même à faire usage de taser ou d’aiguilles de tatouage pour faire parler des suspects) pour retrouver sa fille dont elle découvre peu à peu les secrets. Des guests à la pelle : Sergi Lopez, Valérie Donzelli (impeccable en fille un peu paumée qui bascule du côté obscur) et la toujours géniale Noémie Lvovsky complètent ce casting high level. Les amateurs de sueurs froides vont être comblés.
Nox 12 mars à 21h sur Canal+
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